Lecture analytique du chapitre 2 de Les choses, de Perec. Perec est un auteur né en 1936 mort en 1982, il a beaucoup été intéressé par l'économie, et la consommation. Les choses est le premier roman de Georges Perec.
[...] Dans le troisième paragraphe, nous sommes avec le point de vue des personnages, nous avons la vision de l'immeuble à travers leur regard. Le point de vue passe d'omniscient à interne. Il y est une indécision, une superposition des points de vue, ce qui caractérise le nouveau roman. Les personnages sont satisfaits, positif dans ce lieu. Le narrateur adopte le regard de ses personnages progressivement au fil du paragraphe. De plus ajoutent des sensations, des sentiments. Le chapitre est construit avec une progression narrative qui suggère les sentiments des personnages avant même qu'on les connaisse. [...]
[...] Les meubles sont vieux, vétustes . Il y a une idée de dégradation : feuille pourrissante. La nature n'est pas évoquée joliment, poétiquement. C'est une réalité contrainte qui les oblige à rétrécir leurs ambitions. III. Le point de vue narratif. Dans le premier paragraphe, Le narrateur développe une certaine ironie pour ses personnages, les choses semblent impossibles mais pas aux personnages qui croient en leur rêve. Il est une superposition des points de vue. Les personnages n'ont pas de véritable identité, ils sont toujours désignés par ils Petit à petit les personnages vont se définir quand la réalité concrète va apparaître. [...]
[...] Les choses de Georges Perec. Perec est un auteur né en 1936 mort en 1982, il a beaucoup était intéressé par l'économie, et la consommation. Les choses est le premier roman de Georges Perec. Dans ce roman il renouvelle l'écriture romanesque, il utilise le conditionnel, et crée un univers fictif, un jeu avec le rêve. Dans tous le livre il y a des références à Flaubert, à l'histoire passée, au progrès, à la littérature, au temps qui change. Dans le premier et le second chapitre le temps principal est le conditionnel, puis le futur dans l'épilogue, qui présage un avenir certain mais emmêlé des difficultés de réception. [...]
[...] L'opposition du rêve et de la réalité. L'évocation des beaux quartiers de Paris, sont comme une promesse, une proposition leur grande rêverie : palais royal, Saint-Germain, le Champ-de-Mars, le Luxembourg à Montparnasse, l'île Saint-Louis, terme à l'opéra, de la Madeleine au parc Monceau Paris apparaît dans toute son amplitude géographique et faite exemple d'une immense tentation. Le champ lexical de la petitesse est en opposition avec l'immense pari. Leur jardinet est minuscule, petite cours, deux grands arbres, la nature est relativement contrainte. [...]
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