Les Pensées furent une oeuvre écrite par le philosophe et écrivain Pascal ; et elles furent publiée pour la première fois en 1670. Il s'agit alors d'une apologie de la religion chrétienne, exprimée sous forme de regroupements de fragments appelés liasses. En plus du thème de la religion qui est récurrent dans cette oeuvre, nous avons d'autres sujets tels que l'homme (...)
[...] Littérature Pensées de Pascal: Quelle vision de l'homme propose Pascal dans les liasses II à VIII? Les Pensées furent une oeuvre écrite par le philosophe et écrivain Pascal; et elles furent publiée pour la première fois en 1670. Il s'agit alors d'une apologie de la religion chrétienne, exprimée sous forme de regroupements de fragments appelés liasses. En plus du thème de la religion qui est récurrent dans cette oeuvre, nous avons d'autres sujets tels que l'homme. Pascal semble, au premier abord, avoir plusieurs définitions de l'homme. [...]
[...] Il est alors tiraillé entre l'infiniment grand et l'infiniment petit: l'homme est inconstant. Pascal dira que l'homme est crédule, incrédule, timide, téméraire Montaigne, souvent cité par Pascal a dit que le monde est une branloire pérenne c'est pour cette raison de plus que Pascal dit que l'homme qui, nécessairement, vit dans ce monde, est inconstant. Une fois qu'il s'est rendu compte de sa misère, il va tenter d'y échapper en se divertissant, pour ne plus penser ni à lui, ni à sa condition? [...]
[...] (On retrouve ici Descartes et sa comparaison de l'homme à l'animal). L'homme est d'autant plus misérable qu'il est dans un ennui profond. Pascal, par ailleurs, évoquera la bassesse de l'homme Pascal vient à classer les hommes en trois catégories: les habiles, les demi-habiles et le peuple. Tout d'abord le peuple: ce sont ceux qui ne savent rien mais qui ont des opinions saines car fondées, Pascal les appelle alors des machines Ensuite, nous avons les demi-habiles: pour Pascal, c'est la classe à bannir. [...]
[...] Par ailleurs, ce n'est qu'en imaginant le malheur que l'homme est heureux. Le roi, par exemple, est constamment diverti pas sa cour, mais selon Pascal, c'est sûrement le plus malheureux des hommes. Une fois que le divertissement commence il doit être sans fin, car le divertissement qui part de la misère, se finalise tout autant sur elle. L'homme une fois devenu grand redevient petit. Selon Pascal, l'homme est un être vain, inconstant, tiraillé entre l'infiniment grande et l'infiniment petit, et qui s'inscrit dans un cercle vicieux. [...]
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