Repères biographiques : François Villon est un poète du XV° siècle. La Ballade des pendus est également connue sous le nom d'Epitaphe Villon (inscription funéraire qui commence souvent par les mots « ci-gît »). Ce poème est le plus souvent lu comme un poème autobiographique car il aurait été écrit entre décembre 1462 et janvier 1463 dans la prison du Châtelet, alors que Villon a été condamné à mort pour avoir participé à une bagarre. Le poète fera appel (il aurait été spectateur et non acteur de la rixe) et le jugement sera cassé par le Parlement de Paris qui commuera sa peine en un bannissement de 10 ans. (...)
[...] En effet, l'évocation du supplice des pendus permet de revendiquer le lien fondamental qui les unit à tous les êtres vivants et d'en appeler à leur miséricorde. II) Analyse et interprétation III) Conclusion : Ce poème réaliste dans l'évocation des corps suppliciés vaut surtout par sa dimension édifiante : il s'agit avant tout de faire appel à l'humanité des lecteurs afin que ceux-ci ne jugent pas hâtivement les condamnés au gibet. Il préfigure également la poésie engagée du XVII° siècle (Les Tragiques D'Agrippa d'Aubigné, notamment). [...]
[...] Lecture analytique La Ballade des pendus de Villon Le traitement poétique de la mort ID FDL : 340 La Ballade des Pendus De Villon Sommaire Introduction II) Analyse et interprétation III) Conclusion Travail Objectif : Etudier le traitement poétique de la mort. Explication des termes difficiles : v.3 : si. v.9 «personne ne s'en rie» : que personne ne s'en moque. v.13 par justice : par décision de justice. v.14 que tous hommes n'ont pas bon sens rassis : que tous les hommes ne sont pas réfléchis/pondérés/sages. v.28 : les corps des pendus sont plus troués que des dés à coudre. [...]
[...] Repères biographiques : François Villon est un poète du siècle. La ballade des pendus est également connue sous le nom d'Epitaphe Villon (inscription funéraire qui commence souvent par les mots ci-gît Ce poème est le plus souvent lu comme un poème autobiographique car il aurait été écrit entre décembre 1462 et janvier 1463 dans la prison du Châtelet, alors que Villon a été condamné à mort pour avoir participé à une bagarre. Le poète fera appel (il aurait été spectateur et non acteur de la rixe) et le jugement sera cassé par le Parlement de Paris qui commuera sa peine en un bannissement de 10 ans. [...]
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