La Peau de chagrin - Honoré de Balzac (1831) ; Les Liaisons dangereuses - Choderlos de Laclos (1782) ; Frankenstein ou le Prométhée moderne - Mary Shelley (1818) - Examen type Bac

Thèmes abordés

La peau de chagrin, Balzac, Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos, Frankenstein, Mary Shelley, roman, désir, mort, amour, vertu, passion, science, création, pouvoir, éthique, morale humaine

Résumé du document

Devoir d'entraînement de type Bac en 3 parties sur différents auteurs :
- Une dissertation sur La Peau de chagrin, roman de Balzac (1831)
- Un commentaire de texte d'un extrait des Liaisons dangereuses de Laclos (1782)
- Une analyse linéaire d'un extrait de Frankenstein de Mary Shelley (1818)

Extraits

[...] Analyse linéaire du texte de Frankenstein ou le Prométhée moderne (extraits des chapitres IV et - Mary Shelley (1818) - Introduction Frankenstein ou le Prométhée moderne, ?uvre emblématique de Mary Shelley parue en 1818, demeure un pilier de la littérature gothique et de la science-fiction. Dans ce récit captivant, Mary Shelley explore les conséquences terrifiantes de l'hubris scientifique à travers les yeux de Victor Frankenstein, un jeune savant assoiffé de connaissance. En créant une entité artificielle à partir de morceaux de cadavres, Frankenstein déclenche une séquence d'événements tragiques qui mettent en lumière les thèmes profonds de l'aliénation, de la responsabilité et de la quête effrénée de pouvoir. [...]

[...] Commentaire du texte Les Liaisons dangereuses - Choderlos de Laclos (1782) - Introduction Les Liaisons dangereuses, chef-d'?uvre littéraire du XVIIIe siècle, se dévoile comme un tableau intrigant de la société décadente de l'époque. Rédigé sous la plume acérée de Choderlos de Laclos et publié en 1782, ce roman épistolaire explore les méandres des jeux de séduction et de pouvoir au sein de l'aristocratie française. Au c?ur de cette toile perverse, le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil se distinguent en tant que maîtres manipulateurs, orchestrant un ballet machiavélique de corruption morale. [...]

[...] - Le désir de vengeance de la créature : "je me vengerai". - Le parallélisme entre le créateur et la créature : deux êtres solitaires et en souffrance. IV. Portée symbolique et image - La création de la créature comme une transgression : Frankenstein s'est substitué à Dieu. - La créature comme un miroir de Frankenstein : elle représente ses propres angoisses et ses propres démons. - Le destin tragique de la créature : une parabole sur la condition humaine et les dangers de la science. V. [...]

[...] La création de la créature est une transgression de l'ordre naturel et une manifestation de l'ambition démesurée de Frankenstein. La créature est un être à la fois monstrueux et pathétique, qui suscite la peur et la pitié. Sa rencontre avec Frankenstein est un moment crucial qui met en lumière les conséquences tragiques de l'acte de création. Le destin tragique de la créature est une parabole sur la condition humaine et les dangers de la science. La créature est un être rejeté par tous, qui souffre de solitude et d'abandon. [...]

[...] Son histoire nous montre que le bonheur véritable ne se trouve pas dans la réalisation de nos désirs, mais plutôt dans la recherche d'un sens à notre existence et dans l'acceptation de la condition humaine. La Peau de Chagrin est un roman qui n'a pas perdu de sa puissance et de sa pertinence aujourd'hui. Dans une société où le matérialisme et l'individualisme sont omniprésents, l'?uvre de Balzac nous rappelle que la véritable richesse se trouve en nous-mêmes et que le bonheur ne se résume pas à la possession de biens matériels. Ce roman a également inspiré de nombreuses réflexions philosophiques. [...]