Maupassant est un auteur dit naturaliste. Il passe l'essentiel de son enfance en Normandie en compagnie de son frère et sa mère ainsi que de Flaubert (ami de la mère de Maupassant). Son père a quitté pour toujours le domicile familial faisant de Maupassant un chef de famille avant l'heure. Il profitera d'un double héritage littéraire rendu également possible par sa rencontre avec l'auteur Zola. Cependant il n'accepta pas la position qu'occupait Zola avec ses raisonnements. En effet, il se considérait comme original. Le texte "Le papa de Simon" nous décrit la cruauté des enfants dans le but de concevoir à la fin une parabole de la barbarie chez l'homme (...)
[...] IV) La vision et le jugement de Maupassant : Un artiste qui nous peint une telle scène souhaite avant tout nous faire réfléchir comme le faisait Victor Hugo par exemple, même si lui était plus pédagogique. Hugo dissocier l'histoire de la morale, Maupassant utilise l'ironie. En effet il manie l'ironie pour traiter de sujets important tel que l'éducation des parents ou encore l'influence que peuvent avoir les rumeurs sur les enfants. Il met donc en avant les attitudes de groupe et nous incite à y réfléchir. Maupassant nous donne son opinion sur la manière qu'ont les enfants lorsqu'ils accueillent quelqu'un qui leur apparaît comme différent. [...]
[...] Le papa de Simon de Guy de Maupassant (1879) De "midi finissait de sonner . " à " . cet autre qui n'en avait point du tout." Introduction : Maupassant est un auteur dît naturaliste. Il passe l'essentiel de son enfance en Normandie en compagnie de son frère et sa mère ainsi que de Flaubert (ami de la mère de Maupassant). Son père a quitté pour toujours le domicile familial faisant de Maupassant un chef de famille avant l'heure. Il profitera d'un double héritage littéraire rendu également possible par sa rencontre avec l'auteur Zola. [...]
[...] Maupassant met donc en avant l'aberration des relations humaines en nous décrivant des enfants barbare alors que d'habitude, les enfants sont décrit d'une tout autres manière. Conclusion : Par ce texte que l'on peut qualifié de naturaliste, Maupassant nous représente une scène ordinaire au sein d'une cour d'école. Cependant, les enfants sont représentés comme des adultes sadiques, cruels. L'écrivain dénonce alors la société et met en avant l'impact des potins, des ragots sur une personne ainsi que le comportement au sein du groupe. Selon Maupassant, une personne peut se souiller jusqu'à devenir une sorte monstre. [...]
[...] La venue du héros s'accompagne de procédés d'attente. Le sentiment de gène, l'embarras du petit se fait ressentir par les termes sans comprendre Cependant ce petit nous est représenté comme l'enfant de Blanchotte. Donc, à sa place, c'est sa mère que l'on observe à travers lui. Malgré la présence du suffixe hotte qui donne un caractère dépréciatif, il émane une sorte d'innocence et de sincérité. De plus, l'enfant est également qualifié de pâle D'ailleurs, on peut noter que Simon est toujours avec sa mère comme nous le montre le texte, il ne sortait jamais ou encore c'est le garçon à sa maman En conclusion, Simon a toutes les caractéristiques pour devenir un souffre-douleur. [...]
[...] En conséquence, il s'insère parfois dans la peau des personnages amenant donc une concentration limité au texte (jeu propre au réalisme ainsi qu'au naturalisme). Avec quelques pratiques, l'auteur fait envie au lecteur la suite. II) Les autres et le groupe : Dès le commencement de l'œuvre, le groupe confronté à Simon est évoqué au pluriel avec ils ou encore tous (noms ou pronom pluriels). Alors, ils sont plusieurs et plus puissants alors que Simon lui est isolé et plus faible. [...]
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