Orgueil et préjugés, Jane Austen, mariage d’intérêt, mariage d’amour, petite gentry campagnarde, gentlemen aisés, Jane, Elizabeth, Lydia, Kitty, Mary
Mrs Bennet veut « caser » (selon l'expression du livre) ses filles. Elles sont cinq : Jane la plus grande, Elizabeth, Lydia, Kitty, et Mary. Famille de basse extraction, le mariage représente pour Mrs Bennet une chance pour que ses filles puissent s'élever dans la société. L'arrivée de Mr Bingley, riche jeune homme, lui apparaît alors comme la possibilité de marier l'une d'entre elles et de lui assurer un nouveau statut social ainsi qu'une sécurité économique.
De ce résumé partiel du début de l'histoire, nous pouvons faire ressortir deux thèmes : le mariage et la rencontre entre deux mondes. Le mariage pourrait se diviser en deux catégories : le mariage d'intérêt et le mariage d'amour. Les deux mondes eux seraient, ceux de la petite gentry campagnarde et celle des gentlemen aisés.
[...] Pour Elizabeth, avoir privé sa sœur Jane, qui n'est que beauté et bonté est impardonnable. Cette nouvelle la trouble profondément, l'agite et la fait pleurer jusqu'à lui provoquer une migraine. Elizabeth éprouve alors une antipathie envers Mr Darcy qui atteint son paroxysme. C'est alors que peu après cet événement, Mr Darcy entreprend de faire sa demande à Elizabeth, faisant naître chez elle une stupeur indescriptible. En effet, cette demande ne peut que paraître inappropriée, inconcevable. Tout ce qu'Elizabeth pense de lui, croit savoir sur lui, se heurte à cette demande que Mr Darcy lui semble croire qu'elle va accepter. [...]
[...] Il se fait dans la précipitation : il est nécessaire d'endiguer la vague de déshonneur qui pourrait s'abattre sur la famille Bennet. C'est un mariage qui ne confère à aucun intérêt financier aux deux parties et qui ne fait pas entrer en ligne de compte un amour véritable. Au chapitre 4 du livre Elizabeth apprend de sa sœur Jane que Lydia s'est enfuie avec Wickham. Lydia est frivole et superficielle, enjouée, impulsive et déterminée, peu intelligente et égoïste [ ] elle rit facilement aux éclats, ce qui n'est pas un signe de bonne éducation. [...]
[...] Jane, Austen, Orgueil et préjugés, trad. Laurent Bury, (Paris : Flammarion, 2010) Mrs Bennet veut caser (selon l'expression du livre) ses filles. Elles sont cinq : Jane la plus grande, Elizabeth, Lydia, Kitty, et Mary. Famille de basse extraction, le mariage représente pour Mrs Bennet une chance pour que ses filles puissent s'élever dans la société. L'arrivée de Mr Bingley, riche jeune homme, lui apparaît alors comme la possibilité de marier l'une d'entre elles et de lui assurer un nouveau statut social ainsi qu'une sécurité économique. [...]
[...] Ainsi toutes les vérités sont découvertes et révélées au grand jour. Qui était Wickham, qui était Mr Darcy, pourquoi avait-il agi comme il l'a fait ? Il aura fallu du temps pour qu'Elizabeth sache qui était réellement Darcy, qu'un amour sincère et profond naisse entre eux deux et soit à l'origine d'un mariage d'amour. Les trois thèmes que nous avons étudiés se recoupent ainsi dans la relation entre Elizabeth et Darcy, deux protagonistes connaissent, contournent les convenances et se découvrent l'un l'autre. Wikipédia. http://fr.wikipedia.org/wiki/Orgueil_et_Pr%C3%A9jug%C3%A9s#La_famille_Bennet . Consulté le 18 avril 2012. [...]
[...] Par la suite c'est à Mrs Bennet qu'il fait part de ce qu'était son projet : Dans toute cette affaire, mes intentions ont toujours été les meilleures qui fussent. Mon but était de m'assurer une aimable compagne, non sans tenir compte des avantages pour toute votre famille ( 151) Charlotte Lucas est une fille sensée et intelligente, mais sans charme. Âgée de vingt-sept ans, elle craint de rester vieille fille et de devenir une charge bien lourde pour ses parents. [...]
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