Pour cette description de la Seine, Zola adopte la focalisation externe, c'est à dire, rapportant seulement les apparences extérieures de l'histoire. Datant de la seconde moitié du XIV siècle, l'auteur nous décrit ici un paysage de la ville de Paris, naturel et réaliste. Une journée comme les autres mais par ailleurs il va décrire dans un contexte biographique l'endroit où deux amoureux vont faire leur promenade. L'œuvre étant un roman psychologique incarne aussi l'échec « des impressionnistes, de l'impressionnisme ».
[...] L'Oeuvre, Emile Zola, chapitre Folio p. 246-247 Pour cette description de la Seine, Zola adopte la focalisation externe, c'est à dire, rapportant seulement les apparences extérieures de l'histoire. Datant de la seconde moitié du XIV siècle, l'auteur nous décrit ici un paysage de la ville de Paris, naturel et réaliste. Une journée comme les autres mais par ailleurs il va décrire dans un contexte biographique l'endroit où deux amoureux vont faire leur promenade. L'œuvre étant un roman psychologique incarne aussi l'échec des impressionnistes, de l'impressionnisme Nous étudierons les différents thèmes suivants : L'organisation du tableau Les contrastes picturaux L'architecture du paysage Tout d'abord le paysage est organisé en trois parties : la Seine, la Cité et le ciel. [...]
[...] L'auteur fait des comparaisons de ce paysage par des métaphores. Tout d'abord il compare la Seine à une fuite de miroir ce qui nous fait voir la clarté de l'eau. Il va comparer aussi les omnibus jaunes et des tapissières bariolées défilant avec la régularité mécanique de jouets d'enfant La Cité aussi va être comparée à un vaisseau, car elle partage la Seine en deux étant au centre de celle-ci et ayant sa pointe fine, la Cité, cette proue de l'antique vaisseau montant du fleuve et qualifiée par l'adjectif dorée puis à la fin la Cité va être encore comparée à un vaisseau celui-ci étant séculaire mais cette fois-ci il plonge dans la clarté on fait ici opposition aux différentes métaphores pour un même sujet. [...]
[...] Mais ce qui tenait le centre de l'immense tableau, ce qui montait du fleuve, se haussait, coupait le ciel, c'était la Cité, cette proue de l'antique vaisseau, éternellement dorée par le couchant. En bas, les peupliers du terre-plein verdissaient en une masse puissante, cachant la statue. Plus haut, le soleil opposait les deux faces, éteignant dans l'ombre les maisons grises du quai de l'Horloge, éclairant d'une flambée les maisons vermeilles du quai d'Orfèvres, des files de maisons irrégulières, si nettes, que l'œil en distinguait les moindres détails, les boutiques, les enseignes, jusqu'aux rideaux des fenêtres. [...]
[...] Ensuite l'auteur qualifie son paysage par quelques touches picturales. Des contrastes entre l' ombre et la clarté quelques couleurs sombres et vives. Sur le Pont-Neuf il voit de grands omnibus jaunes puis il y oppose entre les maisons grises du quai de l'Horloge et les maisons vermeilles du quai des Orfèvres Le vaisseau, éternellement doré par le couchant on observe ici, qu'on est à la fin de la journée, puisque le soleil est couchant, alors le vaisseau a l'air dorée on a donc une première indication temporelle. [...]
[...] Tout le fond s'encadrait là, dans les perspectives à deux rives :sur la rive droite, les maisons des quais à demi cachées par un bouquet de grands arbres, d'où émergeaient, à l'horizon, une encoignure de l'Hôtel de Ville et le clocher de Saint Gervais, perdus dans une confusion de faubourg ; sur la rive gauche Cette description de Zola montre un paysage banal, urbain de manière réaliste. Il décrit ce qu'il voit ne changeant rien à la structure du paysage. [...]
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