Analyse littéraire de la première scène de l'acte I de la pièce de d'Alfred de Musset Lorenzaccio.
[...] On peut l'expliquer par le besoin de trouver des remèdes au après de faits graves. Donc Philippe apparait comme la solution. De plus il y a une tradition au théâtre de faire rentrer un personnage important dans le deuxième acte. C'est en tant que père que Philippe s'interroge sur les bannis et remarque chez eux l'éclatement familial : - la séparation frère/ sœur - l'insolence des jeunes filles qui se moquent de leurs parents. Le décor accentue le statut d'intellectuel. L'action se passe dans le cabinet (Musset l'énonce dans la didascalie). [...]
[...] Le lecteur a du mal à voir qui est le locuteur. On est dans les thèmes romantiques, ceux du rêve, du jeu sur les apparences des illusions. On remarque une certaine ironie dans la mise en place du personnage par Musset : la dernière phrase le ramène à une vie banale. Conclusion Le second acte ouvre un nouvel univers : un nouveau personnage Philippe Strozzi, père, honnête, sensible à la douleur des autres et qui veut changer le cours des choses pour les rendre meilleures. [...]
[...] C'est un humaniste de la renaissance. Cette scène est dans une grande continuité chronologique et logique puisque le personnage commente les faits qui viennent juste de s'accomplir (la fuite des bannis). I : Les marques du monologue A : Les rapports avec l'action principale C'est le premier monologue de la pièce. C'est un monologue dans un temps mort conduit par un penseur qui livre ses doutes. C'est un préambule à une confession d'un enfant du siècle un autre monologue adressé à Philippe Strozzi. [...]
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