La Musique, Charles Baudelaire, poésie, registre lyrique, lien entre la mer et la musique
Né à Paris le 9 avril 1821 Charles-Pierre Baudelaire est un poète français du XIXe siècle. Il est reconnu comme l'un des auteurs les plus importants de la poésie française. « Les Fleurs du mal » (1857) fut l'une de ses plus grandes œuvres et un recueil de poèmes en vers qui englobent la quasi-totalité de sa production poétique de 1840 jusqu'à sa mort en 1867.
[...] Commentaire composé La Musique Charles Baudelaire Né à Paris le 9 avril 1821 Charles-Pierre Baudelaire est un poète français du XIXe siècle. Il est reconnu comme l'un des auteurs les plus importants de la poésie française. Les Fleurs du mal (1857) fut l'une de ses plus grandes œuvres et un recueil de poèmes en vers qui englobent la quasi- totalité de sa production poétique de 1840 jusqu'à sa mort en 1867. Nous verrons dans une première partie le lyrisme présent dans ce poème puis dans une seconde partie nous étudierons le lien entre la mer et la musique. [...]
[...] en fin de vers. Dans cette première strophe composée de six rimes, nous pouvons relever des rimes croisées v1, v3 et v2, v4. Nous pouvons également relever le champs lexical du vocabulaire marin : "mer" "vent" (v.11) et "tempête" (v.11) ce qui nous montre que Baudelaire utilise beaucoup dans son poème des comparaisons et des métaphores sur la mer pour parler de la musique, et de la façon dont il l'a ressent. Le rythme du vers 7 est irrégulier: J'escala/de le dos/ des flots/ amoncelés ce vers rappelle la force des vagues et donne ainsi une certaine accélération du rythme musicale. [...]
[...] Nous le savons des le début du poème prend» vers Le bon vent, la tempête et ses convulsions v.8 Baudelaire cherche ici à montrer que les variations de la musique lui font penser aux différentes péripéties qui peuvent apparaître lors d'un voyage en même. Nous comprenons alors que la musique est un voyage à travers lui même pour l'auteur. En conclusion, dans ce poème Baudelaire veut nous faire ressentir les émotions qu‘il éprouve lorsqu'il écoute de la musique et le lien fort unissant la musique et la mer dans ce poème. [...]
[...] On constate aussi aux vers 9 Je sens vibrer en moi toutes les passions et D'un vaisseau qui souffre un oxymore entre passions et souffre L'auteur utilise de même une périphrase vers 12 afin de montrer la détresse qui l'envahit : l'immense gouffre pour parler de la mer. Baudelaire déclare par le vers 13 calme plat qu'il lui arrive de ne pas être toujours envahi par la musique. Tout d'abord il est aisé de voir que Baudelaire construit son poème en alternant alexandrins et pentasyllabes syllabes) créant ainsi le mouvement des vagues. Puis il associe la musique à la mer des le début du poème. En effet l'alexandrin La musique souvent me prend comme une mer ! [...]
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