Ferrante est un personnage vieillissant, fatigué, usé. On voit une évolution des sentiments. Introduction brutale sans familiarité. Adjectifs monstrueux. Le thème pourrait être une déception paternelle. Evocation du passé commun entre le père et le fils vu par le père (...)
[...] Elle tient le même discours que Ferrante. Elle a l'image d'une jeune vierge guerrière. L'Infante est accompagnée par ces dames d'honneurs. L'une qui lance le sujet, l'autre commente l'action pathétique et la dernière renvoit à un ton patriotique. L'Infante n'a pas un glaive enfoncée dans son cœur par amour pour Pedro mais par orgueil. Elle fait l'historique de son aventure. Il se passe trois jours avant que Pedro lui avoue. Pedro était près à lui raconter son amour pour Inès, elle l'interrompt cela lui est méprisant. [...]
[...] Elle le critique, elle le méprise. Champ lexical royale se développe. Ma navarre seule signe d'affection. Évacuation de tout sentiment affectif. C'est une princesse humiliée. Tempérament hardi et virile. Elle n'est pas prédisposée à la patience. Tout est dans l'excès, discours hyperbolique qui montre qu'elle est blessée, se rabaisse exprès à une servante et envisage une mort physique. Dynamique. Rythme ternaire vous m'avez vu, vous m'avez parlé, vous m'avez cru Travail sur les temps qui décrive sa pensée politique (plus que parfait), un malentendus (présent) Ferrante lui répond par l'amour propre. [...]
[...] Il entraine tout le monde dans la mort. C'est celui qui dirige la parole, il enclenche les dialogues, il ordonne de parler, il sait sur quoi faire parler les gens. Il peut les manipuler. Il sait trouver le mot juste pour la personne qui est en face de lui. Il va jouer avec la pitié d'Inès et la perfidie d'Egas Coelho. Il est double dans son rôle de père. C'est à la fois un père nostalgique d'un passé heureux et aussi un père déçut et qui renie son fils. [...]
[...] C'est une mère, elle est dans une maternité rêvée. C'est un amour très pur pour cet enfant. L'enfance vu par Inès et très différente de celle vu par Ferrante. l'enfant est son rêve Elle a un côté assez noble car elle accepte les remarques, elle reste elle-même. Elle frise le sublime. Elle est presque trop parfaite. Elle ne règnera qu'après sa mort. Cela va donner une hora à Pedro, une force qu'il n'a pas. Ferrante se dévoile à Inès. [...]
[...] Indication vague sur le lieu et le temps. Nous sommes dans une salle du palais royale. Peu de lieux différents. C'est une tragédie, le titre l'annonce, Inès a sort fixé. Le ton dramatique est du à la confrontation entre la raison d'état et le cœur. Le mariage de Pedro et l'infante est politique. L'obstacle est le mariage prononcé entre Pedro et Inès. Envoyé l'exposition en rafale par l'Infante est naturel. Elle parle des choses de leur origine à leurs conséquences. [...]
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