Le Menteur - Pierre Corneille (1644) - Mensonge et comédie

Thèmes abordés

Le Menteur, Pierre Corneille, mensonge, comédie, quiproquo

Résumé du document

Le mensonge est tout ce qui est faux, illusoire et trompeur, tandis que la comédie est une manifestation hypocrite de sentiments que l'on n'éprouve pas réellement tels que la feinte et la dissimulation. Nous avons dans ce cas, le comique de situation où le trompeur est trompé. "Le Menteur" s'intègre parfaitement dans ce parcours, en étant basé sur un quiproquo.

Extraits

[...] Il trouve donc plus glorieux de mentir que d'expliquer d'où il vient et ce qu'il y a fait. Conclusion : Le mensonge chez lui se manifeste tout de même par le biais de l'intelligence mais plus l'histoire passe, plus ses mensonges sont incohérents. Ouverture : Cela peut nous faire penser à Arrias, qui lui aussi ment et que son mensonge le ridiculise. Nous retrouvons donc bien dans cette ?uvre, une morale implicite dirigé vers le lecteur, nous disant que le mensonge amène au ridicule. [...]

[...] Le Menteur - Pierre Corneille (1644) - Mensonge et comédie Analyse du parcours : Mensonge et comédie avec le Menteur de Corneille Introduction Tout d'abord nous pouvons nous intéresser à deux mots qui sont le canevas de notre étude. Le mensonge est tout ce qui est faux, illusoire et trompeur tandis que Comédie est une manifestation hypocrite de sentiments que l'on n'éprouve pas réellement tel que la feinte et la dissimulation. Nous avons dans ce cas le Comique de situation où le trompeur fut trompé. [...]

[...] Il y aussi les mensonges qu'à fait Dorante à ses deux amis, Philiste et Alcipe où il leur conte des soirées de débauche alors qu'on découvre qu'il a juste dormis dans son lit comme tout le monde. Il ment aussi à son père à plusieurs reprises pour avoir la femme qu'il désire. A côté de cela, son valet Cliton assiste à toutes les trahisons de Dorante. Ces mensonges créés donc ce que l'on appelle le comique de situation. Nous avons aussi affaire au comique de caractère, où Dorante pense être sûr de sa tromperie, mais il ne sait que lui-même est trompé. [...]