Aldous Huxley est un écrivain britannique né en 1894 à Godalming, dans le Surrey ayant migré aux États-Unis et décédé en 1963 le même jour que l'assassinat du président John Kennedy à Los Angeles, il se préoccupe notamment du progrès scientifique qu'il juge nuisible a l'humanité et cela découlera sur son œuvre incontestablement la plus célèbre : Le meilleur des mondes sur lequel il publiera par la suite un essai : Retour au meilleur des mondes et qui fera prochainement l'œuvre d'une adaptation cinématographique réalisée par Ridley Scott avec Léonardo Dicaprio. Dans certains milieux, Huxley était considéré à la fin de sa vie comme l'un des phares de la pensée contemporaine.
[...] Le meilleur des mondes - Aldous Huxley Roman de science-fiction parut en 1932 qui est composé de 280 pages et dont l'éditeur est Pocket. Aldous Huxley est un écrivain britannique né en 1894 à Godalming, dans le Surrey ayant migré aux États-Unis et décédé en 1963 le même jour que l'assassinat du président John Kennedy à Los Angeles, il se préoccupe notamment du progrès scientifique qu'il juge nuisible a l'humanité et cela découlera sur son œuvre incontestablement la plus célèbre : Le meilleur des mondes sur lequel il publiera par la suite un essai : Retour au meilleur des mondes et qui fera prochainement l'œuvre d'une adaptation cinématographique réalisée par Ridley Scott avec Léonardo Dicaprio. [...]
[...] Celle-ci malgré l'attitude de Bernard qui diffère des normes de la société accepte. En partant observer les réserves de sauvages dans les lesquelles les méthodes de reproduction n'ont pas changés ils y font la rencontre de John et de sa mère Linda qui faisait partie autrefois de la société Ford (une Bêta). Bernard décide de les ramener avec lui. Dès son retour Bernard subit les critiques du D.I.C (le directeur de l'Incubation et du Conditionnement) sur son opinion vis-à-vis de la société mais celui-ci réplique par la présentation de son fils et de Linda : mon père ! [...]
[...] Le roman de Huxley semble donc présenter une critique très juste de l'utopie qu'il semble difficile de contester. Il utilise un registre tragique avec un dénouement mortel, il démontre tous les aspects négatifs qu'une telle société (absence de sentiment entre les individus et donc d'entraide collective) peut entraîner malgré un bonheur continuel qui n'est finalement que entièrement artificiel et n'oublie pas de présenter cela avec une forte touche d'ironie (avec par exemple l'histoire de l'alcool dans le pseudo-sang des classes inférieures), il utilise ainsi ses idées avec l'exagération. [...]
[...] Hors de lui il décide de rapporter les méfaits de cette société en perturbant la distribution de soma aux Deltas : «jetez tout cela, cet affreux poison» (p234), il décide de balancer les rations par la fenêtre et est arrêté par la police. Ils se retrouvent confrontés à Mustapha Menier un des dix administrateurs mondiaux (les individus qui contrôlent la société). De par leurs conduites Helmholtz (qui a est devenu l'ami de John et qui l'a aidé dans sa démarche) et Bernard (qui a assisté a la scène) sont envoyés dans des îles ce que Mustapha considère comme une chance : «s'il avait le moindre bon sens, il comprendrait que sa punition est en réalité une récompense» (p251). [...]
[...] De plus il ne comprend pas l'absence de l'amour «classique» qu'il souhaiterait avoir avec Lénina. Huxley n'oublie pas de démontrer le coté versatile et éphémère de l'humanité avec l'exemple flagrant du personnage principal Bernard qui passe très vite de la solitude et du haïsse ment de sa société a une adaptation totale de tous les bienfaits de cette nouvelle société dû aux regards changeants des autres avant de retourner a sa condition de départ. John est prévenu de la mort imminente de sa mère du fait de sa consommation continue de soma. [...]
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