En 1984, un événement littéraire eut un effet retentissant sur la nation. Il s'appelle Bone people et est écrit par K. Hulme. Suite a la publication de cet ouvrage, une lectrice anonyme à écrit dans un journal « Bone people c'est nous », cette phrase résume très bien le succès du livre. Plus précisément, ce roman montre les efforts relationnels entre les communautés, d'où son impact prodigieux (...)
[...] Chapitre 10 : Kahu a 4 ans. La fonction de ce passage est d'introduire le voyage du narrateur en Australie ? Celui-ci, Rawiri, travaille dans l'usine de décarcération de moutons. Il est typiquement maori et lorsqu'il arrive en Australie il y trouve des cousins qui sont devenus travestis. Ce n'est pas normal car c'est une déchéance, mais peut être que c'est finalement une solution pour avoir de l'argent et pouvoir survivre dans la vie occidentale. Car dans le bush il n'y a pas besoin de beaucoup d'argent pour pouvoir payer son lopin de terre, il n'y a donc pas de prostitution. [...]
[...] Il s'appelle Bone people et est écrit par K. Hulme. Suite a la publication de cet ouvrage, une lectrice anonyme à écrit dans un journal Bone people c'est nous cette phrase résume très bien le succès du livre. Plus précisément, ce roman montre les efforts relationnels entre les communautés, d'où son impact prodigieux. Les années 80 en Nouvelle-Zélande se caractérisent par la naissance des revendications foncières. Il y aura donc la création du tribunal de Waitangi (à partir du traité de Waitangi, qui exprime l'allégeance des chefs maoris à la couronne). [...]
[...] A la page 48-49 on évoque une grande réunion pour un projet culturel Kahanga reo (pour apprendre les langues maories à l'école). On y apprend les pratiques des pêches (auxquelles les femmes n'ont pas le droit). La petite fille commence a communiquer avec les baleines, elle émet le même son qu'eux. Chapitre 7 : Il se passe l'été suivant, la petite fille a 3 ans. Le narrateur nous explique qu'il l'emmène partout avec lui et ses copains, car c'est lui, son oncle, qui s'occupe d'elle. [...]
[...] Léviathan : monstre marin qui par sa forme s'apparente à une grosse baleine. On y trouve souvent sur son dos le chevaucheur de baleines Les différentes parties du livre : Le prologue : l'arrivée de Kahutia Te Rangi Le printemps : La force du destin II- L'été : Le vol de l'Halcyow III- L'automne : La saison du chant de la baleine IV- L'hiver : La chevauchée de la baleine L'épilogue : La petite fille qui venait de la mer L'auteur dans son œuvre, a deux intentions majeures : Faire connaître au lecteur la culture maorie Remettre en question la relation homme/femme telle qu'elle se pratique dans la culture traditionnelle maorie et que la place de la femme soit modernisée. [...]
[...] A l'époque, Witi Thimaera s'investit beaucoup pour la protection de la culture maorie. Et c'est après l'affaire des baleines échouées qu'il à écrit ce conte, Paï. Dans ce récit, il y a une section au début de chaque partie qui est tirée d'un récit mythique, où des baleines vont vers la Nouvelle-Zélande. A la fin du livre, l'histoire de la petite fille Paï rejoint la légende des baleines sur la plage. Il écrira plusieurs œuvres ensuite, comme Pounamou-Pounamou qui est un recueil de nouvelles pour les écoles de Nouvelle-Zélande. [...]
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