Liaisons dangereuses, lettre 97, lettre de Cécile, Choderlos de Laclos, lettre de plainte, libertinage, roman épistolaire, champ lexical, mise en scène, ponctuation, texte proleptique, innocence, corruption
Les liaisons dangereuses est un recueil de lettres publié pas Choderlos de Laclos en 1782. Ce roman épistolaire comporte 175 lettres. Ces lettres parlent de Cécile de Volanges qui va incessamment sous peu se marier avec le comte de Gercourt, mais Mme de Merteuil a été évincée par le comte de Gercourt donc pour se venger elle envoie Valmont corrompre Cécile de Volange pour que Gércourt soit furieux et humilié. Dans la lettre 97 où Cécile écrit à Mme de Merteuil, on peut comprendre qu'elle se fait violer. Nous allons donc nous poser la question suivante : en quoi cette lettre de plainte montre que le libertinage instrumentalise les différents protagonistes ? Nous allons traiter cela en deux parties : dans un premier temps nous allons voir que la lettre 97 et une lettre de plainte et dans un deuxième temps nous allons parler de la mise en scène du libertinage.
[...] » « je sentais tant que je ne le méritais pas » et aussi elle utilise le champ lexical du suspense.On peut voir qu'il y a un portrait indirect de Valmont qui est un personnage libertin et manipulateur, car elle utilise le champ lexical du libertinage autour de Valmont « il a voulu m'embrasser » « il a voulu un baiser ». Dans le texte il y a aussi le champ lexical de la manipulation « il a bien su me dire s'il venait quelqu'un il saurait bien rejeter toute la faute sur moi » « J'ai eu la faiblesse de consentir qu'il revînt ce soir » « qu'il venait peut-être m'apporter une lettre de Danceny » et aussi Valmont dans le texte est omniprésent, car il est cité à tous les paragraphes « il est vrai que M. [...]
[...] Les liaisons dangereuses, Lettre 97, Choderlos de Laclos (1782) - En quoi cette lettre de plainte montre que le libertinage instrumentalise les différents protagonistes ?Les liaisons dangereuses est un recueil de lettres publié par Choderlos de Laclos en 1782.Ce roman épistolaire comporte 175 lettres. Ces lettres parlent de Cécile de Volanges qui va incessamment sous peu se marier avec le comte de Gercourt, mais Mme de Merteuil a été évincée par le comte de Gercourt donc pour se venger elle envoie Valmont corrompre Cécile de Volange pour que Gércourt soit furieux et humilié. [...]
[...] Nous allons donc nous poser la question suivante : en quoi cette lettre de plainte montre que le libertinage instrumentalise les différents protagonistes ? Nous allons traiter cela en deux parties : dans un premier temps nous allons voir que la lettre 97 est une lettre de plainte et dans un deuxième temps nous allons parler de la mise en scène du libertinage.Une lettre de plaintePour commencer, nous allons voir que dans la lettre Cécile est troublée et confuse, car elle emploie le champ lexical du trouble et de la confusion : « j'étais comme si je l'aimais », « la faiblesse », « j'étais bien troublée ». [...]
[...] de Valmont » « vous voudrez bien m'adresser votre lettre par M. de Valmont ».Et pour finir, nous allons voir que c'est un texte proleptique qui est la première étape de la corruption de Cécile dans le plan machiavélique des libertins. On peut voir qu'il y a une vision sur l'avenir, car dans le texte il utilise le champ lexical du futur « dites-moi ce que je dois faire » « qu'il revînt ce soir » et on peut voir que Cécile n'est plus innocente : c'est la fin de l'innocence « j'étais changé », « c'était bien mal ça », « j'étais bien troublée ».Pour conclure, la lettre de Cécile comporte plusieurs éléments de réponse : on peut voir que c'est Cécile le personnage principal, qu'elle est naïve, troublée et confuse, elle est victime d'un plan machiavélique de libertinage et il y a la mise en scène du libertinage comme dans la première partie où on peut voir que Cécile est naïve et confuse et troublée et qu'elle est désespérée et malheureuse et dans la deuxième partie on peut voir que Cécile a été manipulée par Valmont et qu'elle a perdu son innocence qu'elle avait avant et qu'elle fait confiance à Mme de Merteuil qui est la stratège de ce plan machiavélique. [...]
[...] On peut également voir la souffrance intime de Cécile, car elle utilise de nombreuses expressions négatives et insiste dessus, car le mot « malheur » « chagrin » « peine » ont été répétés dans le texte au moins deux fois, on peut aussi voir que Cécile se plaint comme au début du texte « Ah Mon Dieu, Madame, que je suis affligée » « que je suis malheureuse » quand elle se plaint, le lecteur peut éprouver de la compassion pour Cécile.D'ailleurs on peut voir que Cécile est une victime naïve, car elle a de la crédulité et de l'assurance envers la marquise de Merteuil « sauvez-moi » « avec toujours bien de l'amitié » « il faut que je parle à quelqu'un et vous êtes la seule à qui je puisse, à qui j'ose me confier » « vous avez tant de bonté pour moi » et aussi on peut voir que Cécile dit dans la lettre « il a bien su me dire que s'il venait quelqu'un, il saurait bien rejeter toute la faute sur moi » on remarque que Cécile est naïve, car les paroles du vicomte ont réussi à la détourner et elle y a cru elle s'est laissé entraîner elle ne s'est pas opposer. On peut constater que Cécile appelle la marquise de Merteuil « Madame » et l'implore « sauvez-moi », « je suis affligée ».La mise en scène du libertinageMaintenant nous allons parler de la mise en scène du libertinage. On peut voir que c'est une scène racontée comme un récit à suspense, car il y a dans le texte l'utilisation de points de suspension ( ) plusieurs fois ça nous montre l'expression incomplète d'une idée et des non-dits. [...]
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