Dans cet extrait, nous avons donc la quête du nez qui commence ou qui se poursuit au bureau des annonces. C'est un espoir, une chance peut-être pour Kovaliov de retrouver son nez. Il va tenter alors de faire appel à la solidarité, aux concitoyens, c'est un appel à l'aide. Ainsi, ma problématique est la suivante : Quelles vont être les conséquences de cette perte du nez pour Kovaliov, quels sont les enjeux lorsqu'un homme perd son nez, que va se révéler dans la personnalité du personnage et comment Kovaliov va-t-il entreprendre de le retrouver ? (...)
[...] Il est très réaliste comme l'est Gogol. Certains sont dit-on ( ) qu'on désire Ici, l'employé se moque de Kovaliov : Vous devez aimer les farces de société En effet, cette farce relève de la société où vit Kovaliov, d'une société aliénée au paraître. Cette farce est aussi celle de Gogol faite à son personnage, il joue avec lui, le manipule. L'employé est donc impossible à convaincre, d'où les exclamations : C'est impossible ! Inutile ! C'est alors, que Kovaliov va jouer sa dernière carte, la plus convaincante mais aussi la plus dangereuse. [...]
[...] Dans cet extrait, nous avons donc la quête du nez qui commence ou qui se poursuit au bureau des annonces. C'est un espoir, une chance peut-être pour Kovaliov de retrouver son nez. Il va tenter alors de faire appel à la solidarité, aux concitoyens, c'est un appel à l'aide. Ainsi, ma problématique est la suivante : Quelles vont être les conséquences de cette perte du nez pour Kovaliov, quels sont les enjeux lorsqu'un homme perd son nez, que va se révéler dans la personnalité du personnage et comment Kovaliov va-t-il entreprendre de le retrouver ? [...]
[...] Ici, nous analyserons l'attitude de ce nouveau personnage face à l'histoire de Kovaliov (II). Enfin, comment cette nouvelle dramatique, cet échec dans sa quête va-t-elle rendre notre héros totalement dépité (III). Nous tenterons alors, à partir de ce moment là, de montrer l'absurde, le pathétique, le comique de la scène et du personnage de Kovaliov. D'emblée, nous remarquons un Kovaliov furieux : hors d'haleine Il crie et oublie toute forme de politesse : Ah pardon Il est donc furieux à cause de son nez qu'il n'arrive pas à récupérer. [...]
[...] Impossible de rester comme ça, vous le voyez bien ! Je vous serai extrêmement reconnaissant et me félicite cette aventure (il s'agit vraiment d'une aventure, la quête du nez m'ait procuré le plaisir de votre connaissance. Nous remarquons ici que Kovaliov paraît être sûr de son coup, et pour être plus sûr, il complimente l'employé car sait très bien que son destin est entre les mains de ce dernier : le major on le voit s'était résolu à baisser le ton : une fois n'est pas coutume. [...]
[...] Tandis qu'un habile écrivain tel que Gogol pourrait l'écrire et c'est ce qu'il fait. Ici, l'employé est doué de bon sens, le fait de mettre une annonce pour son nez, ne servirait à rien car personne ne croira à une telle annonce aussi incroyable, extraordinaire. Le narrateur insiste sur le fait que l'employé hume pour montrer la différence entre l'employé doué de bon sens et Kovaliov totalement insensé. Ce dernier ne comprend pas qu'il est impossible de passer une telle annonce. [...]
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