Dans la première partie, on remarque une utilisation de discourt indirect liber. Par exemple : "Que m'importait la mort des autres ?" car le temps est à l'imparfait et la phrase est interrogative. Ce qui nous fait entendre la voix même de Meursault. Cela rend la révolte encore plus vivante, violente.
Il y a un effet de réel très net avec cette interruption "Comprenait" p182 avec les points de suspensions qui mime l'étouffement qu'il ressent.
Dans la première partie nous avons un champ lexical de la révolte alors que dans la seconde c'est celui de la paix (...)
[...] Mais cela met Meursault hors de lui, puis il a une révélation qui lui permet enfin de trouver le bonheur. Problématique : Comment le roman s'achève-t-il dans l'apothéose de la paix retrouvée ? Un monologue tragique. Une construction rigoureuse. Construction en deux parties, très nettement séparées. Du début du passage Alors, il a disparu p180 jusqu'à lui parti la fin), L'aumônier est présent dans la première partie et après il n'est plus là. Cela reflète une opposition entre l'homme confronté à autrui et l'homme seul a lui-même. Dans la première partie, on remarque une utilisation de discourt indirect liber. [...]
[...] Par exemple : Que m'importait la mort des autres ? car le temps est à l'imparfait et la phrase est interrogative. Ce qui nous fait entendre la voix même de Meursault. Cela rend la révolte encore plus vivante, violente. Il y a un effet de réel très net avec cette interruption Comprenait p182 avec les points de suspensions qui mime l'étouffement qu'il ressent. Dans la première partie nous avons un champ lexical de la révolte alors que dans la seconde c'est celui de la paix. [...]
[...] Et il comprend enfin les derniers actes de sa mère (fiancé à l'hôpital) et il se compare à elle moi aussi je me senti prêt a tout revivre. La possibilité du bonheur. C'est ça qui le rapproche de sa mère. De découvrir que l'on peut être heureux quand on va mourir. Libéré de l'attente et de la crainte de la mort, que la vie devient possible jouer à recommencer Le bonheur passe par l'acceptation de la mort, l'absurdité de la vie, de la notion de tout ce qui se termine, et donc aussi par une forme de renoncement du rêve. [...]
[...] Il n'était plus sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort. ici, il y a une évidente critique des dogmes religieux mais on ressent aussi une perte de la certitude quand à la vie et la mort. Pour Meursault, il n'y a plus aucune échelle de valeur qui soit valable chez les hommes, tous sont équivalent le chien de Salamano valait autant que sa femme Tous les personnages du roman sont cités mais ils ont l'air totalement interchangeable, ils n'ont pas un rôle plus important qu'un autre à l'intérieur du récit. [...]
[...] Dans ce monologue c'est (aussi) la première fois que libre et puissant Meurseult affirme ses pensées, ses sentiments, qu'il les explique et qu'il donne au roman tout son sens. Cet accès à une nouvelle forme de conscience passe par l'expression de soi-même avec différentes expressions crier à plein gosier il ya une véritable extériorisation de ses sentiments à ce moment là. C'est une forme de révolte violente qui l'épuise physiquement. On remarque même qu'il s'endort et puis par la suite il se réveille. [...]
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