Emile ou de l'éducation Est un traité sur l'éducation considéré comme novateur. Dans l'œuvre de Rousseau il est a rattaché a toute sa pensée sociale et philosophique et se trouve indissociable d'un double projet politique et sociale notamment traité dans Du contrat social, projet au centre duquel se trouve l'individu citoyen. On peut aussi considérer que l'intérêt de Rousseau pour l'éducation s'explique par sa propre expérience qu'il relate dans confessions.
[...] Les lignes 55 à 57 fonctionnent comme un récapitulatif. Rousseau formule trois types de reproches, le texte des fables n'est pas accessible aux enfants un enfant style bas ligne 10, ligne 23. Elles sont infidèles à la réalité référentielle ligne 8 le phénix antiquité. Elles sont immorales ligne sans mentir qu'il ment L'enfant eut avoir tendance à s'identifier à l'animal que l'on voudrait le voir rejeté. Les présupposé apparaissent nettement, le langage poétique est inaccessible aux enfants à cause de la distorsion entre le langage littéraire menteur et la réalité référentielle. [...]
[...] qui est une manière de mettre l lecteur devant ses propres erreurs et de faire naître en lui une certaine culpabilité. On peut aussi noter les interrogations rhétoriques qui n'ont de cesse d'interpeller un virtuel lecteur. L'emploi du je ligne 52, le rappel au passé d'une petite scène vécu lié aux fables donne de la vie à la réflexion en l'illustrant en en lui conférant une authenticité plus grande et plus efficace encore que lorsqu'il est question de tous les enfants. Le ton de l'auteur est tout au long de l'extrait, assuré. [...]
[...] Le choix que fait rousseau de choisir certaines fables pour justifier son propos ne doit rien au hasard : à chaque fois elle oppose des dominants et leur victimes jamais il ne prend de fables dont la morale serait plus discutable. Par ailleurs concernant le loup et le chien ou la cigale et la fourmi on peut dire que rousseau tire les enseignements qui l'arrange. E fait il gomme totalement leurs dimensions poétiques comme la pluralité des lectures qu'elles permettent. Si ce passage donne l'impression d'une condamnation sans appel des fables il faut toutefois rappeler qu'elle ne présente un danger aux yeux de Rousseau que pour les enfants. Quelque ligne lus loin il écrit Composons Monsieur de la fontaine. [...]
[...] Argumentation présentant des failles. Le choix de rousseau de mener dans un 1er temps une analyse de texte semble cohérant car il correspond a son souci d'observer avant d'induire une loi. Mais en émiettant la fable, cette méthode ignore le rythme, brise les enjambements, les mètres. Finalement le sens et le charme de la fable sont perdus. Des failles sont visibles dans l'argumentation de rousseau notamment à travers deux idée : ils penchent à aimer le vice contredit l'idée qu'ils sont naturellement bons. [...]
[...] Jean Jacques Rousseau, Emile ou de l'éducation 1762 Emile ou de l'éducation Est un traité sur l'éducation considéré comme novateur. Dans l'œuvre de Rousseau il est a rattaché a toute sa pensée sociale et philosophique et se trouve indissociable d'un double projet politique et sociale notamment traité dans Du contrat social, projet au centre duquel se trouve l'individu citoyen. On peut aussi considérer que l'intérêt de Rousseau pour l'éducation s'explique par sa propre expérience qu'il relate dans confessions. Parmi les idées nouvelles exprimées dans ce traité figure une conception de l'enfant qui le considère non plus comme un adulte en miniature mais comme une personnalité en formation. [...]
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