Ce texte est dénonciateur dès le début par des moyens de persuasions.
Cela s'effectue progressivement par des pronoms :
- « on » : les trois premiers « on » (vers 3 ; vers 9 ; vers 16) sont de sens général, descriptif, touche tout le monde. Le quatrième « on « on sent une portée accusatrice, il commence a y avoir un climat de tension. Le cinquième représente « nous », c'est à dire le narrateur et ses amis. Le sixième « on » les hommes en général, toute une génération, une époque
- (...)
[...] La mort de l'enfant paraît comme une punition injuste. rameau béni (vers : les habitants sont chrétiens «armoire en noyer »(vers 19) : ce sont des gens possédant quelques biens, qu'ils ne sont pas pauvres. extérieur opposé à l'intérieur : l'intérieur est calme silence et l'extérieur est empli de bruits de guerre ( )des coups/ De fusils dans la rue (vers 16-17) Ces deux lieux sont unis par la mort ; représentée par la description réaliste de l'enfant : bras pendants (vers un doigt dans les trous de ses plaies (vers son crâne était ouvert comme un bois qui se fend «(vers 11) Le récit est donc étroitement lié au paroles de la grand-mère. [...]
[...] Une critique ironique Provient de l'association de terme, d'images qui ne vont pas ensemble et aussi de la simplicité réductrice du raisonnement illogique. ~ Association de prince avec pauvre : antithèse, un prince n'est pas pauvre : association dénonciatrice. Cette association incongrue est suivie de plusieurs vers qui énumèrent les biens possédés : richesses superficielles qui répondent à des besoins secondaires jeux alcôves tables : plaisirs. ~ Raisonnement faussement logique : l‘expression par la même occasion (vers 54) ; montre véritablement quelque chose d'impossible entre les caprices de l'empereur et ses devoirs, dont il ne passe pas beaucoup de temps. [...]
[...] UN TEXTE GÉNÉRATEUR DE PATHÉTIQUE Simplicité du décor ~ Ce décor suggérer l'opposition entre le meurtre de l'enfant et la simplicité des personnages qui habitent ce lieu. ~ Ce lieu montre que c'est la paix, la chaleur lampe (vers 13) foyer (vers 20) et l'amour familial Le comportement de la grand-mère ~ Elle traite l'enfant mort comme s'il "était endormi, vivant, ce qui montre sa tendresse. ~ Elle le prend sur ces genoux le pris sur ses genoux (vers 15) ~ Elle l'approche pour le réchauffer : L'aïeule cependant l'approchait du foyer, Comme pour réchauffer ses membres déjà roides. [...]
[...] ~ L'ironie est enfin présente au vers 57 : le verbe adorait place Napoléon III au niveau d dieu (on adore que les dieux) alors qu tout ce qui précédait le montrer en tant qu'être humain avec ses faiblesses. Texte polémique évident et qui dénonce la brutalité d'un empire naissant ; valeur persuasive, car tous les arguments ne sont des arguments d'autorité reconnue, attestables. - il fait appel au pathétique et à l'émotion pour persuader. - le narrateur doit entraîner le lecteur dans sa pensée. [...]
[...] UN TEXTE DÉNONCIATEUR L'expression de la responsabilité Ce texte est dénonciateur dès le début par des moyens de persuasions. Cela s'effectue progressivement par des pronoms : on : les trois premiers on (vers 3 ; vers 9 ; vers 16) sont de sens général, descriptif, touche tout le monde. Le quatrième on on sent une portée accusatrice, il commence a y avoir un climat de tension. Le cinquième représente nous c'est à dire le narrateur et ses amis. Le sixième on les hommes en général, toute une génération, une époque. [...]
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