Plan détaillé de commentaire composé sur le monologue d'Hamlet tiré de l'Acte III scène 1 de la pièce de théâtre de Shakespeare intitulée Hamlet. L'introduction et la conclusion sont entièrement rédigées.
[...] C'est vraisemblable car Hamlet subit une grande tension. Le suicide mettrait alors fin à une vie insupportable. "Ne pas être" : Il peut mettre fin à sa solitude et éviter de tuer son oncle. Dans sa situation, il ne comprend pas pourquoi il hésite. être = "subir la fronde" : Ce monologue est fait pour qu'il comprenne. Il utilise des métaphores. Hamlet pense qu'on subit sa vie. "Ne pas être" = "s'armer contre" : Pour mourir, il pense qu'on agit et qu'on prend son destin en main. [...]
[...] SHAKESPEARE : HAMLET : Acte III, Scène 1 : Le monologue d'Hamlet Introduction : Le texte se situe à l'acte III scène 1. Etre ou ne pas être, c'est une méditation sur la vie et sur la mort. On sait qu'il y a "quelque chose de pourri au royaume du Danemark". Le roi Hamlet est mort. Gertrude s'est remariée avec Claudius, Hamlet a appris que c'est Claudius qui a tué son père. Il ne sait comment agir. Il fait face à un dilemme. [...]
[...] De plus, Hamlet a eu un terrifiant témoignage de la mort de son père. Cette crainte aboutit à l'affirmation . Ligne 87/88/89 : . C'est la réponse : "On ne meurt pas". La mort n'est ni un espoir, ni un soulagement, ni une solution comme il l'aurait voulu. Troisième partie : "Ainsi . action". La conscience fait de nous des lâches. "ainsi" : revient trois fois. Le raisonnement se conclut donc logiquement. Il y a trois temps : o Ligne 89 : vérité générale : la conscience de la mort fait de nous des lâches, car on ne réagit pas, on subit sa vie. [...]
[...] "dénouement" : Pour Hamlet, vivre c'est mourir : o connotation théâtrale : la vie est une pièce de théâtre. o la mort est la fin d'une crise. "peut-être rêver" : Cela le fait s'interroger sur la nature de ses rêves (la mort n'est plus l'oubli total de la vie). Deuxième partie : "ou . pas". La crainte de quelque chose après la mort. Hamlet réfléchit à voix haute. Lignes 73/74 : Phrase de transition : Elle récapitule la première partie. [...]
[...] C'est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d'une si longue existence. Qui, en effet, voudrait supporter les flagellations, et les dédains du monde, l'injure de l'oppresseur, l'humiliation de la pauvreté, les angoisses de l'amour méprisé, les lenteurs de la loi, l'insolence du pouvoir, et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d'hommes indignes, s'il pouvait en être quitte avec un simple poinçon Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort, de cette région inexplorée, d'où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté, et ne nous faisait supporter les maux que nous avons par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches ; ainsi les couleurs natives de la résolution blêmissent sous les pâles reflets de la pensée ; ainsi les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours, à cette idée, et perdent le nom d'action . [...]
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