Umberto Eco, un essayiste et romancier, qui a écrit le très célèbre "Le Nom de la Rose" qui a été adapté au cinéma, décrit des supporters fanatiques de football dans "Ces foules de fanatiques" extrait de "La Guerre du faux". Ce texte paru en 1978 est un extrait d'article qui a été écrit à l'occasion de la coupe du monde de football en Argentine.
[...] Dans ce texte, l'auteur veut nous convaincre que les gens sont méchants et violents. Il critique surtout les fanatiques. Pour démontrer sa pensée, il utilise l'exemple du football et ses fans. Le ton général de ce texte est ironique, Eco utilise cette ironie pour critiquer les fanatiques et faire semblant de faire leur éloge. Par exemple, il dit ces enthousiastes aveuglés par l'éclatement du pétard et destinés à festoyer me remplissent le cœur de joie À travers ces phrases Eco veut nous montrer l'absurdité de ces fans extrêmes. [...]
[...] Umberto Eco, un essayiste et romancier, qui a écrit le très célèbre Le Nom de la Rose qui a été adapté au cinéma, décrit des supporters fanatiques de football dans Ces foules de fanatiques extrait de La Guerre du faux. Nous étudions, dans ce commentaire, ces foules de fanatiques paru en 1978 qui est un extrait d'article qui a été écrit à l'occasion de la coupe du monde de football en Argentine. Dans son article, Umberto Eco critique les fans extrêmes de football puis critique plus tard la violence des gens et les guerres qui font tant de victimes innocentes. [...]
[...] Cette gradation est implicite, mais montre aux lecteurs l'importance du fanatisme dans beaucoup de domaines pas seulement le football ou d'autres sports mais qu'il s'agit aussi de la guerre et que cela touche des gens innocents, victimes du fanatisme d'autres hommes qui sont volontaires pour s'entretuer ; cette gradation est utilisée par Eco pour que ses lecteurs prennent conscience du fanatisme qui les entoure, et qu'ils peuvent être impliqués dedans à plusieurs niveaux. Qu'ils peuvent être les fanatiques ou les victimes des fanatiques. Puis on remarque dans la première accumulation, il y a une anaphore. Il s'agit de l'anaphore de ces Eco utilise cette anaphore pour insister sur l'accumulation de conséquences graves dues aux foules de fans extrêmes, aux foules de fanatiques. [...]
[...] Dans son article, Umberto Eco utilise plusieurs procédés pour être convaincant dans ses propos et ainsi rallier ses lecteurs à son article. D'abord, il fait semblant de faire un éloge, mais grâce au ton très ironique de cet éloge et aux propos négatifs tenus, on comprend que ce n'est pas un éloge et qu'il utilise ce procédé pour convaincre ses lecteurs de la violence, de l'absurdité de ces foules de fanatiques. Il utilise aussi une accumulation, il y en a même deux dans le texte, la première est pour l'exemple du football dans la première partie du texte. [...]
[...] Dans cet exemple il parle des fanatiques du football, contre les gens qui aiment ce sport au contraire il dit lui-même : je l'approuve et je l'estime providentielle. Eco ne critique que les fans les plus extrêmes ceux qui descendent ensanglantés de leur car celui-ci n'est qu'un exemple donné parmi beaucoup d'autres aussi absurdes que Eco utilise pour convaincre ses lecteurs que les fanatiques sont mauvais. Ensuite, Eco généralise en parlant d'autres sports ou activités où il y a également des fanatiques qui ne s'arrêtent pas qu'aux simples plaisirs de leurs activités. Eco va jusqu'à généraliser pour arriver à parler des hommes qui s'entretuent pendant la guerre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture