La Fortune des Rougon, Emile Zola, Chapitre 7, occurrences du sang, utopie, révolution, république, Silvère, tragique, comique, tragi-comique, politique
Le chapitre 7 débute par les retrouvailles entre les fils d'Adélaïde : Pierre et Antoine. Les deux frères se retrouvent chez leur mère. Antoine a pour but d'être payé par son frère. Ce dernier ne veut pas et le chasse. Pascal, soigne Adélaïde car cette dernière est devenue totalement folle. L'aîné Rougon ne veut rien faire pour sa mère. Une fête a lieu en son honneur, il reçoit la Légion d'honneur. Tous sont là. Tous ont un mort sur la conscience. Rengade retrouve dans ce chapitre celui qui l'a rendu borgne et le lui fait payer. C'est Silvère, il l'emmène à la tombe de Marie, et le tue d'une balle dans la tête devant tante Dide. C'est par ailleurs de là que provient sa folie. Justin est aux anges.
[...] La Fortune des Rougon - Emile Zola - Chapitre 7 : les occurrences du sang Le chapitre 7 débute par les retrouvailles entre les fils d'Adélaïde : Pierre et Antoine. Les deux frères se retrouvent chez leur mère. Antoine a pour but d'être payé par son frère. Ce dernier ne veut pas et le chasse. Pascal, soigne Adélaïde, car cette dernière est devenue totalement folle. L'aîné Rougon ne veut rien faire pour sa mère. Une fête a lieu en son honneur, il reçoit la Légion d'honneur. [...]
[...] Le chant est dans la fortune des Rougon comme un rugissement populaire. Nous avons une image d'animalité. Le chant devient des cris féroces comme ceux du lion en colère. Le soulèvement est représenté comme un spectacle, étant donné que ce qui qualifie les républicains c'est la musique et le bruit. Il y a une forte présence de trompette et de tambours. Les voix viennent de partout, notamment des rochers et des bosquets. Une dimension épique est visible à travers le soulèvement des insurgés. [...]
[...] La mort de Silvère sonne comme un pacte d'amour : la mort les unit et ne les sépare pas. Silvère a les « lèvres collées » sur la pierre ce qui les unit. Dans un deuxième temps, il met fin à l'intrigue politique c'est le dénouement de l'histoire de Pierre et Félicité. L'histoire de Pierre et Félicité se termine par une fête somptueuse. Cette richesse, ils l'ont longtemps attendu : ils mordaient », grands inassouvis ». Cette richesse, ils vont la montrer : plaisirs des riches ». [...]
[...] Miette tout d'abord est le symbole de la république elle est « couverte du drapeau » cela fait référence au linceul d'un mort. Malgré l'exécution, Zola laisse un espoir de renouveau. Miette a les en l'air ». La présence de tante Dide montre qu'il y aura une justice. D. Caractère choquant formé par le contraste de la dimension tragique et de la dimension comique Une opposition dans les tonalités est présente. Il y a une dimension tragique de la mort de Silvère. Les thèmes sont la violence et le sang, le crâne de Silvère éclata comme une grenade mûre. [...]
[...] La mort de Silvère est racontée sous forme d'Analepse. Ce chapitre à un fort intérêt, car il est le dénouement, il est à mettre en parallèle avec l'incipit. Il résonne comme le triomphe des Rougon, à travers ce chapitre nous sommes en mesure d'approfondir et d'interpréter la famille des Rougon-Macquart. Il reprend les caractéristiques de l'intrigue, c'est à dire la folie et le complot. Le personnage de Tante Dide annonce le dénouement tragique, accuse, dévoile les passions en somme la jalousie et la cupidité. [...]
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