Baudelaire, Spleen, Idéal, Les Fleurs du Mal, roman, poème, poète, littérature, personnage, portrait, comparaison, Commentaire d'oeuvre, voyage, l'albatros, analyse
Dès le début de poème, l'albatros est un oiseau des mers, la mer est importante pour Baudelaire. Pour autant, Baudelaire n'est pas fan de la nature, s'il évoque la nature, c'est un symbole, car il aime la ville. L'évocation de la nature : en 1841, Baudelaire part en voyage, ce qui l'inspire pour quelques poèmes : « l'Homme est la mer » dans Spleen et idéal, « le voyage ».
[...] L'auteur prend la partie de l'oiseau, nous avons une tonalité exclamative « », il n'est pas d'accord avec ce comportement opposition Tonalite pathétique, le lecteur comprend enfin que l'albatros est enfer le poète. Les marins seront les lecteurs, es critique, ce qui aurai condamner les fleurs du mal des années avant. MOUVEMENT 4ème qu'atrium « de l'albatros au poème » Le Poète est semblable au prince des nuées, qui hante la tempête et se rit de l'archer ; exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher. [...]
[...] L'image du poète maudit et entrain de prendre le jour (une fin tragique). CONCLUSION : Reprendre les conclusions des 3 mouvements pour faire une conclusion. OUVERTURE : Nous pouvons penser au le poème « bénédiction », où dans le quelle la mer se plaint dès la naissance de son fil et le maudit. « Lors que dans un décret, des puissances suprêmes, le Poète apparait dans ce monde ennuyé, la mère épouvanter et plaine de blasphèmes, crispe ces poings vers dieux qui la prend en pitié. [...]
[...] opposition entre les périphrases méliorative et les trois adjectifs coordonnés, qui désigne l'albatros, qui sont plutôt péjoratif + idée qui se dégage de tout ca est que c'est un oiseau qui est majestueux en vol, mais qui est ridicule quand il atterrie sur la terre + l'adverbe « piteusement » montre que nous avons de la compassion pour l'oiseau (nous sommes donc dans le registre pathétique) + l'oiseau est personnifier, ce qui nous donne un indice que Baudelaire à travers l'oiseau montre une figure du poète comparaison avec des sonorité en ‘'re'' et ‘'que''. On insiste que ces belles ailes en vole ne lui servent à rien sur terre (encore des allitérations) C'est deux strophes se termine sur l'image d'un oiseau majestueux dans le ciel mais maladroits sur terre. Cette strophe contribue à que le lecteur est de la compassion pour l'oiseau et donc du poète. [...]
[...] Les Fleurs du mal, Spleen et Idéal, L'Albatros - Charles Baudelaire (1861) — En quoi l'albatros est en réalité la figure du poète ? MOUVEMENT titre et 1 qu'atrium : Titre descriptif : Dès le début de poème l'albatros est un oiseau des mers, la mer est importante pour Baudelaire. Pour autant Baudelaire n'aime pas la nature, s'il évoque la nature, c'est un symbole, car Baudelaire aime la ville. L'évocation de la nature : en 1841, Baudelaire part en voyage, ce qui l'inspire pour quelques poèmes : « l'Homme est la mer » dans Spleen et idéal, « le voyage ». [...]
[...] Le Poète, montre que ce sont tout le poète et non que Baudelaire l'oiseau est fort et n'a peur de rien, l'albatros est donc un héro état d'isolement de l'oiseau, c'est un oiseau solitaire. On insiste que ce soit la fictive des marais. CE sont les marins qui sont la cause de ça chute au tant que prince. Cependant l'oiseau va s'échapper encore une fois, il va l'envoler dans les cieux. Le poète sera capable de s'élever du monde, il est capable de s'échapper de la méchanceté, des critiques. [...]
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