Résumé des chapitres 2 à 5 du livre de Robert O. Paxton, Le fascisme en action.
[...] C'est sur ce point que les F s'appuient, le parti nazi par son nom prouvait qu'il était pour les travailleurs. Mais la proportion de partisans ouvriers reste moindre. ‘‘Diviser pour conquérir''. ( Autre avantage : moyen de mettre un terme au climat de désordre (auquel ils avaient corroborer) : il se présentent comme seul force non socialiste à pouvoir rétablir l'ordre. Toutefois gêne des conservateurs face à la rhétorique anticapitaliste des nazis, ou comme en Italie face aux syndicalistes fascistes de Rossini. [...]
[...] Mais crise circonstancielle à la 1gm et ses tensions. L'auteur conclue donc à cela qu'il y avait peu de chance qu'un mouvement fasciste accède au pouvoir sans un blocage du gouvernement. Révolutions d'après la prise du pouvoir H & M portés au pouvoir de façon quasi constitutionnelle par les Conservateurs, dans un cadre de gouvernement de coalition pas complètement contrôlé par les dirigeants. Et donc en principe ne disposait que des pouvoirs conférés par la constitution, d »autant plus limité que pouvoir partagé dans la coalition avec les conservateurs. [...]
[...] Pas de coïncidence entre le projet des intellectuels et la réalité. Mussolini qui met en premier à l'épreuve des urnes le fascisme. Il pense gagner des voix en conséquent vis-à-vis des anciens combattants etc., mais en fait il obtient voix sur lorsqu'il se présente pour avoir un siège au parlement. Donc ajustement pour devenir un candidat sérieux. Chapitre 3 Enracinement Les fascismes qui s'imposèrent La plupart des systèmes de politique de masse engendrent des courants intellectuels ou des mouvements activistes proches du fascisme. [...]
[...] Legnani, il parle de cohabitation/coopération dans les composantes du régime. Gentile montre le fait que Mussolini placé entre une tension constante avec d'un coté les forces traditionnelles et de l'autre les intransigeants du parti fasciste ( Ces composites démontrent que les partis ne sont pas statiques : conflits et tensions permanents : conflit de partage une fois au pouvoir, quel responsabilité pour qui etc. enjeux beaucoup plus gros Revirement des conservateurs à revenir sur un régime autoritaire + trad. respectant la hiérarchie sociale et la propriété. [...]
[...] Et les conservateurs pensaient détenir le pouvoir. Les crises pré-fascistes Les crises pendant lesquelles les 2 chefs ont pris le pouvoir ont été différentes mais présentent des point communs : ( Posent au gouvernement des problèmes d'effondrement économique + humiliation nationale, insoluble pour les partis traditionnels. ( Paralysie des gouvernements constitutionnels (par la polarisation politiques que les fascistes ont contribué à exacerber). ( Une gauche militante en croissance rapide, menaçant d'être la bénéficiaire de cette crise. ( Leaders conservateurs refusant de collaborer avec des réformistes de gauche, sentant une menace dans leur propre capacité à gouverner contre la gauche sans aucun renfort. [...]
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