Commentaire composé de la fable "Les deux pigeons" de Jean de La Fontaine.
[...] Mais il part morfondu. Il a froid et tente de sécher ses plumes avec difficulté du mieux Il est mal mené par la première aventure et il a perdu toute prudence. Les évènements vont s'enchaîner en petite vision courte et successive : - un champ à l'écart - du blé répandu - un faucon - l'action est montrée par deux verbes donne envi et il vole Il ne sait pas résister à ses désirs, il a été pris. Fatigué il n'a pas su résister à ses désirs. [...]
[...] Tout le corps participe de son corps, de son aile, de son bec Le terme oiseau met en valeur. L'oiseau est déprimé, quelque plumes y périssent et l'expression le pis du destin montre que la fatalité ne lui laisse aucun répit. Les vers 45 et 46 montre la difficulté. Il va devenir une proie facile pour un vautour mais un nouveau danger apparaît. Mais ce nouveau danger s'agit d'un e délivrance. A partir du vers 50 on a la vision de l'événement par le pigeon. Il profite des circonstances, il est donc peut glorieux. [...]
[...] On a ici une méditation sur brièveté de la vie. Tout ceci s'oppose à la fragilité de l'expérience. Conclusion : Cette fable est bien un apologue car son but est de divertir et distraire. Ainsi, il y a une critique des méfés de l'aventure. Il vaut mieux apprendre à aimer la vie dont l'amour et l'amitié sont des agréments. Mais cette fable est aussi originale car elle comporte une dernière partie qui est lyrique où le poète vieillissant livre ses sentiments. [...]
[...] A partir du vers la situation change, indiqué par l'un et d'eux Ceux sont deux monosyllabe et qui annoncent un fait nouveau : l'ennuie. En effet son existence est trop paisible et monotone. Il le condamne avec le mot fou La décision du premier pigeon de partir lance le dialogue argumentatif. Il faut noter l'opposition l'un et l'autre Le pigeon sédentaire montre son émotion de façon vigoureuse avec des cris comme qu'allez-vous faire ? (Il y a ici une mise engarde de la part du pigeon sédentaire), et des exclamation et de interrogation. [...]
[...] Le discourt du deuxième pigeon est différent du premier car il est égoïste. En trois mots ne pleurez point il console son compagnon. Il ne considère son voyage que pour sa satisfaction personnelle (vers 22). C'est donc un égoïste qui ne pense qu'a lui. L'égoïsme du personnage est devellopé par l'emploi du pronom personnel de la premier personne je m'avait et les adjectifs possessif de la premiere personne mon mes Cet égoïsme st aussi marqué par je le deésennuirais alors qu'il ne s'ennuie pas. [...]
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