Cet extrait fait partie de l'oraison funèbre de Périclès, qui nous a été référée par l'historien grec Thucydide. L'oraison funèbre appartient au genre littéraire de l'épitaphe, ce terme viens du grec επι-ταφιον (epi-taphiòn) et il signifie "ce qui est au-dessus de la tombe". Originairement, il indiquait un éloge funèbre qui, au cours de la Grèce ancienne, avait lieu à Athènes avec le but d'honorer les soldats tombés en guerre; après on appellera épitaphe toutes les inscriptions funéraires placées sur une pierre tombale ou un monument funéraire.
Celle de Périclès est l'une des oraisons funèbres les plus importantes de la Grèce ancienne et on peut la retrouver dans la principale oeuvre de l'auteur Thucydide.
[...] Mais, selon d'autres sources, un exil de vingt ans pour une défaite de guerre semble une condamnation peu probable, et certains pensent que le récit de ces histoires, ce n'est pas d'attribuer à Thucydide, mais à Xénophon. En ce qui concerne, enfin, sa mort, elle reste un peu mystérieuse: nous ne savons pas avec certitude, en fait, ni le lieu ni la date de la mort de l'historien. Probablement il a vécu assez longtemps pour assister à la capitulation douloureuse d'Athènes en 404 av. J.-C. et il est mort au cours des conflits sanglants qui ont troublé la ville entre les années 400 et 395 av. [...]
[...] J.-C.? PLAN POINTS STRUCTURANTS LA VIE POLITIQUE D'ATHÈNES a. Démocratie: de quoi s'agit-il? b. L'égalité devant la loi et le principe de méritocratie. II) A LA TÊTE LA JUSTICE a. Un régime politique de liberté et tolérance. b. [...]
[...] La faillite politique étrangère de Périclès sera l'une de principales causes de la décadence athénienne à la fin du V siècle av. J-C. [...]
[...] Le mot démocratie a été à l'origine un terme péjoratif utilisé par les adversaires du système de gouvernement de Périclès. En fait le mot ‘'kratos'', plutôt que le concept de pouvoir (mieux désignable par ‘'archìa''), il représentait celui de ‘'force matériel'', et donc la ‘'démocratie'' signifie, grosso modo, la «dictature du peuple" ou "de la majorité". Les partisans du régime athénien utilisaient d'autres termes pour décrire comme une condition d'égalité était nécessaire pour le bon fonctionnement d'un système politique: ‘'isonomie'' (c'est à dire l'égalité des lois pour tous les citoyens) et "isegoria" (droit égal pour chaque citoyen de prendre parole dans l'assemblée). [...]
[...] La participation à la vie culturelle et religieuse. Dans la dernière partie de cet extrait, on peut voir que Périclès s'intéresse particulièrement aussi aux aspects culturels de la cité, en les considérant nécessaires comme remède aux fatigues quotidiennes, > (ligne 24). En effet, à cette période-là, Athènes connait l'une des époques la plus florissante; se développe de façon extraordinaire l'art, la littérature e la culture, ils sont en autre garantie des manifestations religieuses solennelles qui sont distribuées tout au long de l'année et plusieurs concours littéraires. [...]
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