Explication de texte pour l'oral du Bac de français notamment.fable de Jean de Lafontaine : les animaux malades de la pesteAvec situation de l'oeuvre dans le temps, introduction, étude linéaire du texte ainsi que la conclusion
[...] Il tente donc de les flatter. On comprend également qu'il est superstitieux au vers 19 puisqu'il dit qu'ils sont dans l'obligation de faire un sacrifice. Il y a également une fois de plus une insistance sur sa provenance divine avec le mot céleste et le mot courroux qui est souvent employé pour qualifié l'énervement des dieux dans les mythologies En revanche vers 16 et 20 il utilise de modalisateurs « je crois », « peut-être » , il n'est donc pas certain et prend du recul sur ce qu'il avance. [...]
[...] ET : Les animaux malades de la peste, Jean de la fontaine 1678 Situation : L'auteur de cette fable est Jean de la fontaine, un poète français de grande renommé appartenant au classicisme. Il est né en 1621 à château Thierry et est mort en 1695 à paris. Il va commencer par des études pour devenir prêtre mais va finalement se réorienter en droit. Parallèlement à ses études, il fréquente un salon se jeune passionnés de littérature « les chevaliers de la table ronde », c'est ici qu'il va écrire ses premiers vers. [...]
[...] La peste devient donc un personnage important on la fuit, elle provoque un sentiment de peur comme le montre le vers 5 Le vers 2 nous montre que la peste est d'origine divine, elle aurait été inventé par dieu pour punir les péchés de la terre. Dans la première partie du texte on a également une allitération en R avec les mots « terreur », « guerre », « terre ». Le son R est un son désagréable et dur comme la peste. [...]
[...] Dans cette fable, l'argument est simple, afin de conjurer le mal qui décime son peuple, le lion décide de réagir. Ainsi, on peut voir que le lion et le renard qui sont au sommet de la hiérarchie n'expiediront pas leur péché car le lion fait preuve de cynisme en s'accusant lui même mais en se dépêchant de rajouter le « mais ». Quant au renard comme nous l'avons énoncé plus haut va prendre son partit et même pas se confesser. [...]
[...] Du vers 12 à 14 on peut imaginer que l'auteur nous fait un clin d'œil à travers les animaux puisqu'ils sont évoqués dans nombreuses de ses fables comme la cours du lion ou encore le rat et l'éléphant. Cela nous laisser penser qu'avec l'arrivée de la peste elles n'ont plus de sens. Au vers 14 on à un parallélisme de construction avec la répétition de « plus de » Cela apporte encore une fois le côté amer et tragique car à cause de la peste la vie n'a plus de sens la joie et l'amour on disparut. [...]
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