La première dissension que nous avons observée chez Jean-Paul Sartre se retrouve dans cet énoncé ; « l'homme n'est rien d'autre que son projet, il n'existe que dans la mesure où il se réalise, il n'est donc rien d'autre que sa vie. » (p.51) Nous nous élevons contre ce « réductionnisme » à outrance : l'homme, la femme décident de demeurer à la maison à plein temps (...)
[...] Oui, pour un président en quête de légitimité pour ses bombes incendiaires et dévastatrices (élu de la droite américaine Non, pour un écrivain s'opposant à toute complicité avec là-haut et prenant partit pour l'ici-bas (le droit à vivre sans abris nucléaire, sans occupation militaire). L'homme unidimensionnel de Marcuse et l'homme dans la foule de Rimbaud ne sont que des approximations, des interprétations de prises de paroles scientifiques et poétiques de la dimension humaine complexe, singulière et unique. Il faut prendre la mesure philosophique dans la diversité, dans la multiplicité des genres, militer pour une écoute sans attente, affective certes mais d'abord sans jugement de valeurs. Source : SARTRE, Jean-Paul. L'existentialisme est un humanisme, France, Éditions Gallimar p. [...]
[...] Puis, Jean-Paul Sartre devient pour un instant, un moraliste, un curé en chaire un dimanche matin devant un auditoire somnolent ! Dans son énoncé; en réalité, pour l'existentialiste, il n'y a pas d'amour autre que celui qui se construit, il n'y a pas de possibilité d'amour autre que celle qui se manifeste dans un amour. (p.52) Il se permet de trancher, d‘indiquer un constat : L'amour est un construit. Non, c'est un vécu, parfois désinvolte, qu'on ne peut maîtriser totalement ! [...]
[...] Travail sur Jean-Paul Sartre : L'existentialisme est un humanisme. La première dissension que nous avons observée chez Jean-Paul Sartre se retrouve dans cet énoncé; «l'homme n'est rien d'autre que son projet, il n'existe que dans la mesure où il se réalise, il n'est donc rien d'autre que sa vie.» (p.51) Nous nous élevons contre ce réductionnisme à outrance : l'homme, la femme décident de demeurer à la maison à plein temps, pour prendre charge des enfants, de la maisonnée. Ainsi, les milles et un gestes au quotidien de la mère ou du père traduisent autres choses qu'une simple prise en charge domestique. [...]
[...] Ici, la marche est haute et vacillante ! Retenir la vérité comme un vecteur, comme un facteur philosophique plaidant pour le juste, la seule et unique véracité, nous amène hélas dans une idéologie (orthodoxie), dans des croyances religieuses; L'axe du mal de George W. Bush pour une guerre juste! Quelle ineptie ! Nous ne pouvons ici que nous opposer, pour dénoncer avec âpreté, une telle approche, une telle fermeture, une telle rigidité conceptuelle. C'est même anti-sartrien. L'homme axiome relevant uniquement de ses actes, de sa somme . [...]
[...] Interpellant vivement par l'émoi, un nouveau sens, cadre au mot entraide, abandon, indifférence, solidarité, collectivité, bourgeoisie mettant en scène de la violence, l'opiniâtre de la cupidité, de la monstruosité des possédants par leur manque d'indignation, leur égoïsme face au sort (non naturel) des laissés-pour-compte. Pour terminer, c'est durant la rédaction de son manuscrit que Victor Hugo a délaissé les velléités de ses croyances religieuses (le catholicisme) pour devenir athée et un anti-monarchique. Alors, M. Sartre, l'invisible peut être chargé d'imprévus. La quatrième démarcation se situe dans; Notre point de départ est en effet la subjectivité de l'individu, et ceci pour des raisons strictement philosophiques». Non pas parce que nous sommes bourgeois, mais parce que nous voulons une doctrine basée sur la vérité. [...]
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