En 1885, Maupassant écrit Bel-Ami qui apparaît comme une œuvre fondamentale. A travers le personnage principal de Georges Duroy, dont le surnom est Bel-Ami, Maupassant propose un roman d'apprentissage réaliste. Georges va progressivement gravir les échelons sociaux grâce à sa manipulation des femmes. Ainsi la fin du dernier chapitre du roman révèle le triomphe de Bel–Ami qui achève son ascension dans le monde en épousant à l'Eglise de la Madeleine, la fille du riche et puissant M. Walter mais également la fille de son ancienne maîtresse. Son extrait est un excipit, tout en terminant le roman il ouvre sur une suite que le lecteur peut imaginer.
[...] En outre, Bel Ami ne fait aucune auto- analyse et n'a donc pas changé moralement, mais seulement socialement. Une fin ouverte Ici, la fin est originale puisqu'il y a l'annonce d'une future carrière politique qui appelle le lecteur à s'imaginer une suite. [...]
[...] Maupassant, "Bel-Ami", excipit Introduction En 1885, Maupassant écrit Bel-Ami qui apparaît comme une œuvre fondamentale. À travers le personnage principal de Georges Duroy dont le surnom est Bel-Ami, Maupassant propose un roman d'apprentissage réaliste qui va progressivement gravir les échelons sociaux grâce à sa manipulation des femmes . Ainsi la fin du dernier chapitre du roman, révèle le triomphe de Bel–Ami qui achève son ascension dans le monde en épousant à l'Église de la Madeleine, la fille du riche et puissant M. [...]
[...] Tout d'abord, le passage est théâtralisé. Bel Ami se tient devant l'église comme dans un spectacle, Mme de Marelle s'approche discrètement de lui, Georges prend le bras de Suzanne pour traverser l'église. Il s'offre donc en spectacle à la foule donc tous ses gestes sont calculés, il descend avec lenteur : le champ lexical de regard est omniprésent contemplait l 40 les yeux l 42, les voyait l Apparaît une véritable opposition entre cette foule et Bel-Ami. La foule est immense et est comparée à une masse pleine de monde La comparaison de la ligne 27 la foule comme un fleuve, le peuple de paris et celle de la ligne 39 une foule noire bruissante nous l'indiquent. [...]
[...] L'hypocrisie bourgeoise apparaît également dans la figure de Mme de Marelle qui sans honte lance une invitation à Duroy le jour de son mariage. Apparaît le goût pour l'hypocrisie : appel discret l 18, »comme pour dire l 20 et l'importance de l'apparence à la ligne 50 où Mme de Marelle arrange sa coiffure. III) Une fin de roman originale Un roman d'apprentissage qui apparaît néanmoins cyclique Bel Ami est arrivé au terme de son ascension, et pourtant on a l'impression d'une forme de circularité avec la présence de Mme de Marelle qui symbolise l'utilisation des femmes par Bel Ami. [...]
[...] Enfin, la présence du soleil 49) annonce une victoire totale. II) La dénonciation morale et sociale l'ironie de Maupassant sur son personnage Bel Ami est débordé par son triomphe et par son émotion au point de balbutier (ligne et finalement il ne reprend la maîtrise de lui-même que lorsqu'il voit Mme de Marelle, ce qui atteint le sommet de l'immoralité puisque le jour de son mariage, il repense aux moments charnels qu'il a passés avec elle et lui lance une invitation pour le futur : A bientôt Madame On a un décalage également entre les actes et les pensées puisqu'il apparaît les champs lexicaux du religieux avec une absence de valeurs morales. [...]
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