Etude de quatre textes : Pantagruel de François Rabelais, Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, un extrait du Discours sur les sciences et les arts de Jean Jacques Rousseau, Le diagnostic de l'Europe de Marguerite Yourcenar

Thèmes abordés

Etude de quatre textes, Pantagruel de François Rabelais, Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, un extrait du Discours sur les sciences et les arts de Jean Jacques Rousseau, Le diagnostic de l'Europe de Marguerite Yourcenar

Résumé du document

Le premier texte, de François Rabelais est un extrait de son roman Pantagruel qui fait référence à une lettre que reçoit un fils de son père « Car maintenant que tu te fais grand, et que tu deviens un homme ». Le personnage fait part de ses souhaits pour son fils « Je veux que rapidement tu essaies de tester combien tu as profité ». De plus, il cite des lieux réels tels que « Paris » c'est pourquoi nous pouvons affirmer qu'il s'agit d'un roman. Dans le second texte, Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley il s'agit du chapitre 17 de son roman.

Extraits

[...] Il utilise un vocabulaire précis et franc en fonction du thème abordé Que ces réflexions sont humiliantes pour l'humanité ! De plus il ne se concentre pas sur une seule personne mais sur un large public Peuples Quelle question morale ces texte soulèvent-ils de l'avancée de la science ? Ces quatre textes soulèvent des questions d'ordre morales contenu de l'avancé de la science. Dans les textes de François Rabelais et de Jean Jacques Rousseau on nous dit que la science est bon pour l'homme mais que pour autant il ne faut pas qu'il en oublie la sagesse. [...]

[...] Au sein de ce corpus, nous allons présenter quatre textes : Pantagruel de François Rabelais écrit en 1532, Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley en 1932, un extrait du Discours sur les sciences et les arts de Jean Jacques Rousseau écrit en 1750 et enfin le diagnostic de l'Europe rédigé en 1929 par Marguerite Yourcenar. Quels sont les genres littéraires utilisés par ces auteurs ? Lequel est le plus efficace ? Quelles questions morales ces textes soulèvent-ils de la marche de la science et quelles sont ses limites ? [...]

[...] Mais la meilleur solution est-elle de laisser la science s'emparer de la vie et prendre le contrôle ? Ce sujet porte encore à réflexion mais prouve que la science peut prendre la place même de l'homme. Enfin dans le dernier texte de Marguerite Yourcenar celle-ci nous explique que l'avancé de la science présente partout rend l'homme moins cultivé qu'il ne l'était auparavant Le prodigieux effort vulgarisateur ( ) permet à l'inexpérience du plus grand nombre l'illusion de l'universel savoir L'homme laisse place aux moyens technologiques pour se faciliter la vie L'esprit à la recherche désespérée d'une éthique, n'aboutit qu'à l'hygiène sportive ainsi la science occupe de plus en plus de place dans la vie l'homme. [...]

[...] En effet celle-ci nous parle de la réalité en citant certains philosophes tels que Descartes et Spinoza Elle ouvre le débat sur le thème posé qui est la science et l'exploite sous différents angles ; les cadres les textes »machines etc. De plus Marguerite nous livre sa vision du Monde Les cerveaux mal préparés ploient sous la diversité des connaissances Ainsi ous avons pu voir à travers tous ces textes que tous portaient sur le thème de la science et que chaque auteurs donnaient son avis sous formes et manière différentes. Selon moi le genre littéraire le plus efficace serait celui du discours car il est explicite et se concentre sur un sujet précis. [...]

[...] Il n'y a pas de limites à la science, elle évolue avec son temps et modifie notre train de vie comme nous le dis Aldous Huxley Dieu n'est pas compatible avec les machines, la médecine scientifique, et le bonheur universel tandis qu'auparavant l'homme ne jurait que par Dieu. Il en est de même pour le Discours sur les sciences et les arts de Jean Jacques Rousseau ou l'auteur exprime implicitement l'idée qu'à l 'époque les hommes n'étaient pas en mesure d'expliquer certains phénomènes. C'est pourquoi il était plus facile pour eux de croire en une force supérieure, en l'occurrence Dieu «Peuples, sachez donc une fois que la nature a voulu vous préserver de la science . [...]