étude d'un extrait, Père Goriot de Balzac, Germinal d'Emile Zola, Bel-Ami de Maupassant, Quatrevingt-treize de Victor Hugo
Dans chacun de ces textes, le personnage principal a un caractère qui lui est propre. Dans le 1er texte, il s'agit d'un certain M. Goriot qui a gravi les échelons de la société pour devenir président de sa section pendant la Révolution française. Il est représenté comme un père aimant qui se sacrifie pour ses filles : « Il s'est sacrifié parce qu'il était père » (l. 23). Le personnage principal du 2e texte est Maheu, un travailleur acharné de la mine. Il est représenté comme un homme dur, courageux et déterminé : « Il ne voulait lâcher son havage » (l. 13). Dans le 3e texte, il est question d'un homme suffisant ayant une grande estime de soi : le baron Georges Du Roy : « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui » (l. 37) .
[...] Cela montre une société dans laquelle le but est d'arriver au sommet au détriment des valeurs morales : Le peuple de Paris le contemplait et l'enviait. (l. 39/40). Dans le 4ème texte, le personnage principal met en évidence le fait que les discordes soient provoquées par l'inégalité entre les riches et les pauvres : Les pauvres veulent être riches. Les riches ne veulent pas être pauvres. (l. 15/16). Nous nous apercevons à travers la lecture de ces textes que chacun véhicule une image différente de la société du 19ème siècle à travers un personnage au caractère singulier. [...]
[...] Le 4ème texte est un extrait de Quatrevingt-treize écrit par Victor Hugo en 1874. Dans chacun de ces textes du 19ème siècle, de quelles manières les romanciers donnent-ils une image de la société à travers les personnages ? ( Nous analyserons chaque personne puis nous nous intéresserons à l'image de la société véhiculée dans chacun des texte ) Dans chacun de ces textes, le personnage principal a un caractère qui lui est propre. Dans le 1er texte, il s'agit d'un certain M. [...]
[...] Dans le 3e texte, il est question d'un homme suffisant ayant une grande estime de soi : le baron Georges Du Roy : Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui (l. 37) A l'apogée de son triomphe social, cet être égoïste et hautain est aussi infidèle en conversant avec son ancienne maîtresse le jour de son mariage. Dans le 4ème texte, l'auteur met en scène un mendiant Tellemarch surnommé le Vieux. Il s'agit d'un homme pauvre qui réfléchit à la place de chacun dans la société. [...]
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