Édouard, Claire de Duras, romantisme, amour, passion, classe sociale, sentiments, bac de français
Cet exercice de baccalauréat de Français a pour objet d'étude « Le roman et le récit du Moyen Âge au XXle siècle ». Il s'agit de commenter un extrait de l'oeuvre « Édouard » de Claire de Duras.
Claire de Duras, écrivaine du XIX siècle, a publié son roman « Édouard » en 1825. Cette oeuvre fait partie du mouvement littéraire du romantisme, période durant laquelle apparut un désir absolu d'exprimer et d'écrire ses sentiments. Dans ce roman, Claire de Duras nous raconte l'histoire du narrateur, Édouard, tombé amoureux de la duchesse de Nevers. Il passe un été à ses côtés, au château de Faverange, ne pouvant lui avouer ses sentiments, car il ne fait pas partie de la noblesse.
[...] Ces interrogations interviennent durant le discours direct. En effet ces paroles rapportées mettent en valeur ce qui est dit. L'intervention des personnages rend le roman plus vivant. Les verbes sont ici au présent de l'indicatif alors que la majorité du texte est composée de temps au passé. Par exemple, on peut y trouver du passé composé ligne 18 voulu", de l'imparfait ligne 2 "tapissait" ou de passé simple ligne 8 "s'empara". Le contraste est alors encore plus marqué, mettant en apposition le passé et le présent "elle me dit" ligne 22. [...]
[...] Édouard, Extrait - Claire de Duras (1825) - Comment l'auteure parvient-elle à nous faire part de la souffrance du narrateur ? I. Introduction Le roman et le récit traversent les âges, dévoilant les aventures humaines et leurs mystères. Claire de Duras, écrivaine du XIX siècle, a publié son roman « Édouard » en 1825. Cette ?uvre fait partie du mouvement littéraire du romantisme, période durant laquelle apparut un désir absolu d'exprimer et d'écrire ses sentiments. Dans ce roman, Claire de Duras nous raconte l'histoire du narrateur, Édouard, tombé amoureux de la duchesse de Nevers. [...]
[...] Edouard est sûr de lui, il nous démontre cette assurance avec l'utilisation de l'adverbe " jamais" ligne 13, et deux fois à la ligne 15. Il est sûr de ce qu'il ressent, il a confiance en cet amour qui, pour lui, est éternel. Nous pouvons remarquer une ponctuation expressive par des points d'exclamation, ligne 10, ligne 14, ligne 15, ligne 16, ligne 17 et ligne 19. Cette expressivité est marquée par à la ligne 15. Elle montre l'enthousiasme du narrateur et son assurance. [...]
[...] En effet, le narrateur sera pour toujours malheureux face à cette situation persistante, et à ces obstacles inévitables. III. Conclusion Pour conclure, Claire de Duras parvient à nous faire part de la souffrance du narrateur en mettant en avant le contraste entre les sentiments qu'il éprouve pour la duchesse de Nevers, et cet amour impossible auquel il est confronté. Il ne peut que souffrir de cet amour et être malheureux. De Chrétien de Troyes à Virginia Wolf, le roman et le récit n'ont cessé d'évoluer grâce à un renouvellement constant. [...]
[...] Nous pouvons voir une personnification du jasmin à la ligne 2 et un grand jasmin montait et s'entrelaçait" ce jasmin intervient aussi à la ligne 27" je cueillis des fleurs de ce jasmin". Le jasmin a alors une grande importance, il est presque symbolique et intensifie le paysage. Une métaphore de la "vapeur violette" ligne 7 est utilisée. Ici, la vapeur violette sous-entend la tombée de la nuit qui est accentuée par la personnification des" petites particules brillantes qui nagent dans l'atmosphère" lignes 5 et 6. Ces particules peuvent nous faire penser à la rosée nocturne des soirs d'été. Claire de Duras nous fait entrer dans un monde qui nous fait rêver. [...]
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