En 1622, nait à Paris le célèbre dramaturge et comédien, Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Fils d'un marchand tapissier, il perd sa mère quand il a dix ans. Son grand-père lui transmet son amour de théâtre, mais son père l'oblige à faire des études de droit.
 21 ans, après avoir rencontré Madeleine Béjart, une comédienne, il arrête ses études de droit et fonde avec elle, en 1643, une troupe: l'illustre théâtre qui fait faillite deux ans plus tard. C'est à ce moment-là qu'il se joint à une autre troupe itinérante. Débute, alors, en 1645, une longue tournée en Province où il obtient l'appui du prince Conti et où il présente sa première comédie , l'Étourdi. En 1658, Molière et sa troupe rentrent à Paris et se retrouvent sous la protection de Monsieur, le frère du roi Louis XIV. Puis, il joue devant ce dernier qui leur accorde une salle de théâtre, prés du Louvre, la salle du Petit-Bourbon. L'année suivante, Moliére devient célèbre grâce aux Précieuses ridicules qui l'établissent comme l'un des plus grands auteurs, metteurs en scène et acteurs. En 1661, la troupe s'installe définitivement au Palais-Royal. S'enchaînent alors de nombreux succès, notamment : L'École des femmes (1662), Tartuffe (1664), Dom Juan (1665), Les Fourberies de Scapin (1671)…etc. Mais ces œuvres ne plaisent pas à tout le monde, en particulier aux comédiens de l'Hôtel de Bourgogne et au parti religieux, qui décident d'interdire Tartuffe et Dom Juan. En 1665, le roi renforce sa protection en donnant à sa troupe une pension de 7000 livres et le titre de « troupe du roi ». Deux années auparavant, il a épousé Armande Béjart (sœur ou fille de Madeleine, on ne le sait pas.). Il organise pour le roi de grandioses fêtes avec le musicien Lulli et crée un nouveau genre : les comédies-ballets, comme Le Bourgeois gentilhomme (1670). L'année 1671 marque le succès de Psyché, un spectacle « musical ». La suivante est chargée d'évènements tels que la mort de Madeleine Béjart, la publication des Femmes Savantes et la rupture avec le compositeur Lulli, après huit ans de travail en commun.
Le 17 février 1673, lors de la quatrième représentation du Malade imaginaire, Molière est atteint, sur scène, d'un terrible malaise. Il décède chez lui, rue Richelieu.
[...] Personnellement, je me suis dit qu'Oronte avait choisi une femme différente d'Agnès pour Horace. Ma pensée a été renforcée lorsqu'Oronte annonce que c'est la fille d'Enrique : on ne sait pas qu'Agnès est sa fille donc cela déroute le lecteur et lui donne de faux indices. Il y a plusieurs situations comiques comme le dénouement, mais aussi le fait qu'Arnolphe est toujours ridiculisé, on se moque de lui, on le traite de fou etc., mais il ne se rend jamais compte. [...]
[...] L'un amasse du bien, dont sa femme fait part A ceux qui prennent soin de le faire cornard ; L'autre un peu plus heureux, mais non pas moins infâme, Voit faire tous les jours des présents à sa femme, Et d'aucun soin jaloux n'a l'esprit combattu, Parce qu'elle lui dit que c'est pour sa vertu. (Acte Scène Mais essayant à tout prix d'éviter cette humiliation, Arnolphe en devient victime. *l'éducation des femmes : A l'époque de Molière, les femmes sont inférieures aux hommes. Leur éducation est négligée : on ne veut pas de femmes intelligentes, cultivées, mais des femmes bêtes, bonnes à prier Dieu, aimer [son époux], coudre et filer (Arnolphe, Acte Scène I). [...]
[...] de la souche, elle décide alors de l'enfermer dans l'armoire et de lui donner rendez-vous pour le soir même. Les deux domestiques informent Arnolphe de la mort d'Horace. Celui-ci va voir le corps lorsqu'il revoit Horace vivant. Le jeune homme lui dit qu'il a préféré faire le mort pour éviter de recevoir plus de coups de bâtons et lui demande de lui rendre un service, celui de protéger Agnès pendant son absence. Arnolphe accepte. La jeune fille lui ayant été remise et Horace étant parti, il révèle son identité à Agnès et lui fait des reproches tout en lui déclarant sa flamme. [...]
[...] Mise en scène J-P.Vincent, Arnolphe (D.Auteuil), Agnès (L.Thilbault), Théâtre de l'Odéon, Paris B/INFORMATIONS DIVERSES : .SUR LE CONTEXTE, l'époque : Le XVIIe siècle est le Grand siècle du Théâtre. Deux genres y sont apparus : la comédie et la tragédie. Le XVIIe marque l'apogée de la comédie. Ce succès doit beaucoup à Molière. La comédie est basée sur une intrigue traditionnelle : deux jeunes personnes, aidées par des serviteurs rusés, combattent la tyrannie d'opposants à leur mariage. Le mariage est le thème principal des comédies, car c'est un sujet comique. [...]
[...] L'école des femmes, Molière : En 1622, nait à Paris le célèbre dramaturge et comédien, Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE. Fils d'un marchand tapissier, il perd sa mère quand il a dix ans. Son grand-père lui transmet son amour de théâtre, mais son père l'oblige à faire des études de droit. Â 21 ans, après avoir rencontré Madeleine Béjart, une comédienne, il arrête ses études de droit et fonde avec elle, en 1643, une troupe: l'ILLUSTRE THÉÂTRE qui fait faillite deux ans plus tard .C'est à ce moment- là qu'il se joint à une autre troupe itinérante. [...]
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