Sur l'eau, Maupassant, révolution industrielle, écrivain français
Ce texte est signé, Guy de Maupassant, écrivain français du XIXème siècle. Son œuvre, parue en 1888, est intitulée: Sur l'eau.
L'auteur a été marqué par la révolution industrielle. L'œuvre est un journal, un récit de ses aventures mêlé à ses émotions personnelles. Dans cet extrait, l'auteur nous donne son ressenti par rapport à la guerre.
Le texte de Maupassant est de la littérature d'idées car il exprime son opinion et c'est un texte argumentatif car il critique et dénonce la guerre à sa manière... Le contexte nous aide à comprendre que Guy de Maupassant vit pendant la guerre puisqu'il relate les faits, subis lors des guerres.
Son texte, extrait du livre Sur l'eau relève d'un registre pathétique puisque son texte inspire la pitié et la supériorité des pacifistes vis-à-vis de ceux qui sont pour la guerre mais le texte révèle aussi du registre tragique puisque l'auteur dénigre la bêtise de ceux pour la guerre et dresse un constat peu encourageant vis-à-vis de l'avenir de l'homme.
[...] Puis il reprend son énumération, accablant cette fois-ci non plus les méfaits de la guerre, mais bien ceux qui en sont à l'origine : Les Hommes. Il critique également le fait que des savants et autres hommes de sciences mettent de leur temps et de leurs connaissances à approfondir, améliorer et peaufiner toutes les technologies qui n'ont qu'un seul but : Vaincre et détruire le camp adverse. Pour conclure, Maupassant se base ici sur la citation d'un haut-gradé de guerre pour dénigrer celle-ci, il se met dans la peau d'un des protagonistes afin de banaliser ironiquement les méfaits d'un conflit, aussi important et dévastateur soit-il. [...]
[...] Dans la deuxième partie, qui s'étend de la ligne 6 à la ligne 25, Maupassant nous livre quatre parties semblables, dans lesquelles il énumère les atrocités des guerres du XIXème siècle telles que nous les connaissons, à savoir piller les villes, brûler les villages, violer les femmes trouvées dans les rues et ces énumérations pesantes et sans fin donnent au lecteur une impression d'écrasement, accompagné d'un sentiment de malaise au vu de toutes les atrocités dépeintes de manière si banale, à la manière de noms sur une liste d'appel, ou même d'une liste de courses que l'on prévoit de façon hebdomadaire au gré du temps. D'ailleurs de la ligne 17 à 19, Nous avons vu tuer des chiens enchainés à la porte de leurs maitres pour essayer des revolvers neufs, nous avons vu mitrailler par plaisir des vaches couchées dans un champ, sans aucune raison, pour tirer des coups de fusil, histoire de rire. Maupassant utilise des rimes occlusives pour donner au texte de l'ampleur, de la colère. [...]
[...] En premier lieu, et afin d'étayer son argumentation, Maupassant cite M. de Moltke, Feld-maréchal prussien, lorsqu'il nous parle de sa vision de la guerre, ainsi, de la ligne 3 à la ligne ce dernier sacralise la guerre comme état de fait, allant même jusqu'à la canoniser, à la qualifier de grande et noble et surtout, à clamer qu'elle empêche de tomber dans le plus hideux matérialisme. C'est à partir de cette dernière idée que Maupassant va fonder son réquisitoire, se servant du procédé de répétition à la fin de chaque paragraphe. [...]
[...] Ce texte est signé, Guy de Maupassant, écrivain français du XIXème siècle. Son œuvre, parue en 1888, est intitulée Sur l'eau. L'auteur a été marqué par la révolution industrielle. L'œuvre est un journal, un récit de ses aventures mêlé à ses émotions personnelles. Dans cet extrait, l'auteur nous donne son ressenti par rapport à la guerre. Le texte de Maupassant est de la littérature d'idées car il exprime son opinion et c'est un texte argumentatif car il critique et dénonce la guerre à sa manière . [...]
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