Honoré de Balzac (1799-1850) est l'un des plus grands dramaturges français, il est membre de la Société des gens de lettres dès sa création. La vie de Balzac peut se résumer entre la littérature, la vie mondaine et sa vie amoureuse, cependant il connait de multiples problèmes qui vont être la cause de sa ruine. Honoré de Balzac fut l'un des pionniers du roman grâce à ses peintures de la société de la première moitié du XIXe siècle réalisées par l'intermédiaire de personnages modernes et réalistes, de plus il utilise des éléments de sa propre vie comme dans Illusions perdues. En quelques années il écrit près de quatre-vingt-dix romans qui se regroupent sous le titre La Comédie humaine (1842) dont est issu l'extrait que nous allons étudier: La Duchesse de Langeais, paru en 1933 et qui fait partie du roman Histoire des Treize. Dans cet extrait, le narrateur nous raconte une discussion animée entre la Duchesse de Langeais et Armand de Montriveau.
[...] Cet adverbe est suivi par je veux sois à moi la ponctuation coupant chaque parti de la phrase de façon distincte ; montre que l'auteur veut mettre cette réplique en valeur, car c'est elle qui est à l'origine de l'agacement de la duchesse de Langeais face au sentiment de possession qu'a Montriveau à son égard. En effet, Antoinette de Langeais est révoltée par le sentiment de possession de Montriveau, comme la montre le repoussant avec force ou encore l'utilisation de différente ponctuation comme le point d'exclamation ou d'interrogation. Ainsi que la répétition de mots puis, que signifie votre je veux ? Je veux ! [...]
[...] En effet cette idée est approfondit dans la courte description du caractère de la duchesse de Langeais que fait l'auteur à travers le penser du personnage de Montriveau ou il l'a décrit comme une femme écrasante de mépris ainsi qu'une femme froide et tranchante autant que l'acier cette comparaison met clairement en avant l'idée précédemment vue. Par ailleurs l'auteur va plus loin en exprimant le fait qu'elles sont manipulatrice comme dans vous faire la plus légère promesse, je ne serais pas assez sotte pour la tenir ainsi l'idée mise en avant est que les femmes de l'aristocratie parisienne n'ont pour but que de satisfaire leur propre amour, et que la société aristocratique parisienne n'est que manipulation est fausseté Si la duchesse représente la manipulation et la froideur de la l'aristocratie, de Montriveau lui représente le coté humain, simple commun à chaque groupe social. [...]
[...] [ ] je l'aurai en faisant cela l'auteur montre une réactivité presque instantanée des personnages, par conséquent l'auteur donne aussi un sentiment de rapidité au dialogue qui montre bien au lecteur que c'est une bataille verbale. Ainsi l'auteur met donc en avant un combat avec leur conquête est plus difficile à faire que ne l'avait été celle de l'Europe ou nous allons jouer maintenant une partie d'échec un jeu de chasse entre une proie qui est la duchesse de Langeais est le chasseur jouer par de Montriveau. Mais cependant cet affrontement se fait de façon à respecter les conventions de la bienséance. [...]
[...] Honoré de Balzac fut l'un des pionniers du roman grâce à ses peintures de la société de la première moitié du XIXe siècle réalisée par l'intermédiaire de personnages modernes et réalistes, de plus il utilise des éléments de sa propre vie comme dans Illusions perdues. En quelques années il écrit près de quatre-vingt-dix romans qui se regroupent sous le titre La Comédie humaine (1842) dont est issu l'extrait que nous allons étudier La Duchesse de Langeais paru en 1933 qui fait partie du roman Histoire des Treize. Dans cet extrait le narrateur nous raconte une discussion animée entre la Duchesse de Langeais et Armand de Montriveau. [...]
[...] Ainsi, les deux personnages s'échangent de multiples formules dans cet extrait : je vous prie vous me permettrez je vous prierais je serais charmée Je suis enchanté Me permettez-vous Je vous rends mille grâces et pour finir ayez mille grâces Cependant, l'auteur en mettant en place ces formules de politesse utilisées par les deux personnages semble avoir un sens ironique dans la façon dont elles sont utilisées qui témoigne du fait de la bataille verbale entre les deux amants. Par ailleurs à travers ce dialogue l'auteur fait un portrait peu avantageux des deux personnages représentant la société aristocratique parisienne. [...]
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