Commentaire composé de Littérature sur le chapitre 3 de La duchesse de Langeais de Balzac. Comment la duchesse avait-elle joué avec Montriveau ?
[...] Balzac est nommé président de la société des gens de Lettres. En 1845, la première édition de la Comédie Humaine regroupée en trois parties, l'étude des mœurs, études philosophique et études analytiques. Pour Balzac, les personnages sont vraiment des idées. La Comédie Humaine s'est fait en travaillant. C'est quelque chose d'organisé par rapport à une pensée. L'ambition de Balzac est de réalisé une réalisation totale en terme de sujet, de lieu, d'argument, exhaussement. Balzac a toujours été passionné par les causes et les principes. [...]
[...] La duchesse n'aime pas le général au début mais se sent flattée d'en être à ce point désirée. Apres tant de peine, le général de Montriveau décide de lâcher prise et songea de se venger. La Duchesse écrira à celui-ci qui ne donnera aucune nouvelle de lui pendant vingt deux jours. La duchesse, elle, fera croire qu'elle est victime d'une maladie, la maladie d'amour. Les membres qui lui rendaient visitent la trouvée de plus en plus pale, et de jour en jour, plus abattue. [...]
[...] Il fait introduire le partage féminin est masculin qui est au centre de l'œuvre. Balzac a des recettes pour que l'amour dure. Pour lui, il faut y croire, ce n'est pas sentimental mais une question : Qu'est ce que l'amour ? Il y a une démesure qui part chez la folie dans Balzac. Balzac nous montre ce qui se passe quand un grand créateur est dans l'amour. Les trois récits de l'histoire des Treize sont des illustrations des actions fabuleuses. Il y a quelque chose qui contredit sa simplicité. [...]
[...] La femme qui était elle-même le centre du monde se sent maintenant, dans cet extrait, une femme seule, frustrée et blessée. Les mensonges sont les choses dans laquelle elle dit l'amour. Dans ce roman, l'amour n'est jamais dit par la Duchesse. Il y a dans ce texte à la page 197, une extase religieuse. On pense que la sublimation permet qu'il y ait un dégagement par rapport au corps. Il y a une catastrophe identitaire. Chez Balzac, le champ d'action de la femme, c'est l'amour. [...]
[...] Il traite la décadence de l'aristocratie parisienne de 1830. Balzac nous montre à travers ce texte les cruautés d'une femme maîtresse de son amant. C'est l'histoire d'une héroïne, présentée dans ce texte comme une belle femme coquette parisienne qui découvrira l'amour auquel elle sera prête à tout sacrifier. Le général Montriveau, héroïque général de l'armée de Bonaparte , lui, est à la recherche d'une femme dont il n'arrivait pas à retrouver depuis presque cinq longues années. Il poursuivit ses recherches dans tous les couvents d'Europe et d'Amérique et finalement se rendit compte que la sœur Thérèse était bel et bien celle qui recherchait. [...]
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