Le dernier jour d'un condamné incipit, Victor Hugo 1829, personnification, champs lexical, anaphores, emprisonnement, prison psychologique, folie du personnage, commentaire de texte
Victor Hugo, qui est un grand auteur reconnu, publie en 1829 "Le Dernier jour d'un condamné". Nous allons analyser l'incipit du roman où le personnage sombre peu à peu dans la folie en faisant une transition entre sa vie avant et après l'emprisonnement pour comprendre ces réactions et en juger de l'originalité de l'incipit. Tout d'abord Victor Hugo fait un retour en arrière sur la vie antérieure du personnage, il le met en évidence par l'adverbe "Autrefois" (L4) appuyé par l'emploi de l'imparfait "était" montre que le personnage menait bien une autre vie avant la prison.
[...] L'idée lui rappelle donc constamment qu'il est condamné à mort et elle s'empare de lui pour former une prison psychologique et l'enfermer sur lui-même. La folie du personnage est donc provoquée par cette prison psychologique liée par cette idée de fatalité où le personnage dès son arrivée derrière les barreaux s'est vu petit à petit coller une étiquette « condamné à mort » qu'il n'a pas voulu porter car dans son ancienne vie chaque instant lui réservait sa part de mystère tandis qu'a présent son destin est scellé. [...]
[...] Mais peu à peu cette idée de rester en prison commence à lui coller à la peau : « elle est toujours là, cette pensée infernale » (L14). Il la compare à « un spectre de plomb » (L14) comme si elle venait s'appuyer sur lui pour lui rappeler son fardeau. La personnification « face à face avec moi misérable et me secouant de ses deux mains de glace » suit l'idée du spectre de plomb qui veut prendre petit à petit le contrôle du personnage. [...]
[...] Victor Hugo – Le dernier jour d'un condamné (commentaire) Victor Hugo, qui est un grand auteur reconnu, publie en 1829 « le dernier jour d'un condamné ». Nous allons analyser l'incipit du roman ou le personnage sombre peu à peu dans la folie en faisant une transition entre sa vie avant et après l'emprisonnement pour comprendre ces réactions et en juger de l'originalité de l'incipit. Tout d'abord Victor Hugo fait un retour en arrière sur la vie antérieure du personnage, il le met en évidence par l'adverbe « Autrefois » appuyé par l'emploi de l'imparfait « était » montre que le personnage menait bien une autre vie avant la prison. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture