Jean-Claude Carrière est un conteur, écrivain français du 20e siècle, il écrit « Le Mahabharata, qui rend limpide le joyau de la littérature indienne en restituant ses croyances et ses mythes sous la forme d'un conte merveilleux. Dans le roman historique La controverse de Valladolid, d'abord un téléfilm (1991) avant d'être un livre (1992) puis adapté au théâtre en 1999 ; il raconte le débat entre le prêtre dominicain Las Casas et le philosophe théologien Sepulveda devant une éminence, un cardinal légat du Pape, tous réunis au 16 siècle dans une église de Valladolid pour déterminer si les Indiens ont une âme ou sont nés pour être esclaves.
[...] La controverse de Valladolid Jean-Claude Carrière : depuis Le cardinal franchit avec prudence jusqu'à sans y attacher une vive attention Passage : depuis Le cardinal franchit avec prudence jusqu'à sans y attacher une vive attention Introduction : Jean-Claude Carrière est un conteur, écrivain français du 20e siècle, il écrit Le Mahabharata qui rend limpide le joyau de la littérature indienne en restituant ses croyances et ses mythes sous la forme d'un conte merveilleux. Dans le roman historique La controverse de Valladolid, d'abord un téléfilm (1991) avant d'être un livre (1992) puis adapté au théâtre en 1999 ; il raconte le débat entre le prêtre dominicain Las Casas et le philosophe théologien Sépulvéda devant une éminence, un cardinal légat du Pape, tous réunis au XVIe siècle dans une église de Valladolid pour déterminer si les Indiens ont une âme ou sont nés pour être esclaves. [...]
[...] 52/53) et l'emploi du passé composé servent à donner le bilan de cet engagement laborieux. L'impératif regardez (l. 66) et les points de suspension à la ligne 69 révèlent qu'il est à court d'arguments. À la ligne 63, le verbe tente et le déterminant indéfini quelques attribué aux dessins connotent sa difficulté à les faire circuler et effectivement, le passage se clôt sur un constat d'échec puisque les religieux se passent rapidement . attention (l. 71/72), bien loin de juger clairement (l. 65) comme il les y a invités. [...]
[...] 50/51) est péjorativement qualifié d'« en tout point vicieux (l.3/39), mais aussi d'impressionnant, il devient un coup théâtral (l.43) puis une action spectaculaire (l. 60). L'argumentation repose sur un syllogisme (l. 35) c'est-à-dire un raisonnement logique à deux propositions qui conduisent à une conclusion. Ici il manque la deuxième prémisse, mais on peut la retrouver et reconstituer le syllogisme : l'homme supérieur apprécie la beauté véritable (l. 35/36), or j'apprécie la beauté véritable, par conséquent je suis un homme supérieur (l. 36/37). [...]
[...] il essaie de faire comprendre que l'art aztèque est plus riche que la seule sculpture qu'ils observent. Il ne veut pas que l'art sépare les hommes qu'il tente de réunir comme le met en valeur le champ lexical de la proximité ressemblances (l.54), rapprocher (l. similitude (l. 55/56) et le déterminant possessif de la première personne du pluriel lorsqu'il appelle les Indiens nos frères Pour ses détracteurs, la beauté est unique et Occidentale : La notion d'art est pour le groupe de Sepulveda assemblé dans la salle capitulaire (l. [...]
[...] Le dominicain utilise des termes laudatifs harmonie barbare, mais savante (l. 10) pour décrire l'art des Indiens. En ajoutant que l'art se cache (l. il suggère qu'il faut être curieux et perspicace. Le leur est si singulier qu'il faut travailler à le comprendre. Il énumère plusieurs activités artistiques : la peinture ils peignent (l.68), la teinture ils connaissent divers procédés de teinture (l. 67/68), le tissage ils font aussi des tissus très fins (l.66/67) et la poterie façonnent (l. 68) pour donner un aperçu de l'étendue de leur savoir artistique. [...]
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