Injustice, La cour du lion, La fontaine, Discours sur la misère, V. Hugo, La grasse matinée, Jacques Prévert (1946)
La fontaine dénonce son injustice à travers une fable avec l'utilisation d'une caricature du monde humain. En effet La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l'homme à travers les animaux. D'ailleurs La Fontaine utilise des mots humains pour caractériser les animaux. Le titre la cour du lion fait référence au roi Louis XIV et son royaume qui a cette époque obtient le pouvoir absolu. Celui-ci est représenté par le lion qui symbolise la brutalité. Au cour de ce récit on remarque que le lion découpe les têtes des personnes en désaccord avec lui. Alors l'auteur ici dénonce le pouvoir abusif du roi, son hypocrisie et le fait que le peuple impuissant soit contraint de se soumettre à ce roi et ses caprices. Mais Il ne dit pas clairement ce qu'il souhaite dénoncer pour éviter la censure. Donc il le fait par une moral explicite au cour d'un récit argumentatif indirecte. Ici jean de la fontaine s'exprime d'un point de vue critique sur la vie du roi représenter ici par le lion et la société !
[...] Il utilise aussi le registre pathétique et polémique pour d'écrire l'état des lieux et faire réagir les personnes présentes contre cette misère. Ce que reproche Victor Hugo est que l'état ne se préoccupe pas des réels problèmes existant et fait part d'une volonté d'une société solidaire afin d'abolir cette misère mais sans intervenir ! Il dénonce à travers ce magnifique discours la misère et souhaite son abolition. Puis le poème de Jacques Prévert, un poème engagé. Celui-ci nous présente aussi un cas réel. Jacques nous amène au cœur de la vie d'un pauvre homme. [...]
[...] Comparaison de la dénonciation d'une injustice par trois œuvres d'époque et d'auteurs différents : La cour du lion VII - La fontaine (1678) , Discours sur la misère - V. Hugo (1849) et La grasse matinée - Jacques Prévert (1946) Nous allons étudier trois textes présents au sein de ce corpus, La cour du lion VII est une fable de La fontaine écrite en 1678, Discours sur la misère de V. Hugo écrit en 1849 et enfin La grasse matinée un poème engager de Jacques Prévert écrit en 1946. [...]
[...] Ce poème argumentatif dénonce la solitude et la souffrance du pauvre qui a faim et sera condamné pour crime. Mais aussi d'une société de consommation bien-pensante qui ne voit pas l'injustice. Le rythme haché accentue la violence de la dénonciation. Ainsi jacques Prévert nous sensibilise par la cruauté des images, par les refrains lancinants, les répétitions : le lecteur est rapidement empathique. Ainsi nous pouvons voir que chaque auteur dénonce une injustice différemment par le genre littéraire bien précis et de diffèrent point de vue. Cela est dû à leurs époques et leur différente manière de penser. [...]
[...] Le titre la cour du lion fait référence au roi Louis XIV et son royaume qui a cette époque obtient le pouvoir absolu. Celui-ci est représenté par le lion qui symbolise la brutalité. Au cour de ce récit on remarque que le lion découpe les têtes des personnes en désaccord avec lui. Alors l'auteur ici dénonce le pouvoir abusif du roi, son hypocrisie et le fait que le peuple impuissant soit contraint de se soumettre à ce roi et ses caprices. [...]
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