Commentaire Littéraire (1er partie uniquement) sur Les Liaisons Dangereuses (LETTRE 4)
[...] » La dérision envers les sentiments L'amour que la présidente de Tourvel est par exemple fortement tournée en dérision, « son inconsolable moitié », tournure évidemment ironique et moqueuse. On voit toute la mordante ironie de Valmont à travers l'expression très ironique : « Mon bon ange m'a conduit ici ». Plan du commentaire I - Une certaine vision de l'amour Une vision quasi militaire de l'amour Une certaine vision de la femme La dérision envers les sentiments II - Valmont, un libertin de son temps le renversement des valeurs la misogynie de Valmont la mégalomanie de Valmont. [...]
[...] Les Liaisons dangereuses est un roman épistolaire majeur du dix-huitième siècle écrit par Choderlos de Laclos. Ce roman peut être entrevu comme la confrontation entre des personnages sincères et naïfs que le chevalier de Danceny et la présidente de Tourvel et des personnages machiavéliques et manipulateurs tels Valmont et la marquise de Merteuil. Cette lettre 4 que Valmont adresse à sa partenaire dans le Mal, la marquise de Merteuil permet de poser l'intrigue du roman en même temps que d'esquisser le portrait du machiavélique Valmont. [...]
[...] La vie de la pieuse présidente de Tourvel est perçu comme morne et ennuyeuse comme le montrent l'énumération : « Une messe chaque jour, quelques visites aux pauvres du canton, des prières du matin et du soir, des promenades solitaires, de pieux entretiens avec ma vieille tante, et quelquefois un triste wisk ». En effet, les personnages sincères sont souvent moqués par les machiavéliques Valmont et la marquise de Merteuil. Valmont se moque de la naïveté de la présidente : « Elle ne se doute pas de la divinité que j'y adore. [...]
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