Louis-Charles-Augustin-Claude Trenet aussi surnommé le fou chantant est originaire de Narbonne, cité du Sud de la France, où il est né le 18 mai 1913.
Son père était notaire et violoniste ; il est issu d'un milieu bourgeois.
Sa mère quitte la famille alors qu'il n'a que sept ans pour suivre un dandy scénariste et réalisateur : Benno Vigny.
Avec son frère Antoine de trois ans son ainé, il est confié à la garde de son père.
Il passe sa scolarité en internat à Béziers, puis à Perpignan comme externe.
C'est pendant son enfance, à l'occasion d'une période de convalescence suite à une fièvre typhoïde qu'il développe sa sensibilité artistique : modelage, peintre et musique.
Ses jeunes années ont pour cadre les villes de Narbonne et de Perpignan, deux villes qu'il met à l'honneur dans ses textes : « Autour du monde » (1947), « Narbonne mon amie » (1961) et « France-Dimanche » (1948).
À Perpignan, il découvre le monde du théâtre et de la poésie auprès du poète Albert Bausil.
[...] accusés de prendre le travail des Français ) qui souhaitent un pouvoir fort : certains s'inspirent du fascisme italien, d'autres veulent rétablir la monarchie. Des manifestations antiparlementaires sont organisées à Paris par les ligues de droite et d'extrême droite comme celle du 6 février 1934 où de violents affrontements eurent lieu avec les forces de l'ordre sur la place de la Concorde (17 morts et 2300 blessés). Les yeux du monde Les partis de gauche, communistes et socialistes, ressentent un danger pour la démocratie. [...]
[...] Je t'achèterai des robes, et des chapeaux, Des bijoux qui brill'nt et des chaussures Pillot/ une petite auto Gardons le couloir, l'échelle du grenier Et la bonn' qui boit' d'un pied, Le vieux fourneau rougi, Le chat qui fait ronron. Maman, ne vends pas la maison. Le temps passe très vite Et les années nous quittent. Un jour, on est un grand garçon Mais toi, malgré tes quelques cheveux gris, T'es jolie . Maman, tu as bien fait d' garder la maison. [...]
[...] Il touche principalement la population ouvrière qui n'a pas de protection sociale. Les paysans voient leurs revenus s'effondrer et les petits commerçants sont menacés de faillite : l'inquiétude et la misère se développent. Les revenus de la population diminuent d'environ et plus encore dans le milieu agricole. ©Priceminister En direct du bourbier Le web pédagogie Cette crise économique engendre en France une grande déstabilisation politique et sociale. Si les rentiers, les professions libérales ou la bourgeoisie sont moins touchés par la crise, des personnes sans ressources sont obligées de se rendre aux soupes populaires pour se nourrir. [...]
[...] Les chansons écrites pendant la guerre sont des hymnes à la liberté : Espoir (1941), Douce France (1943) Espoir ! Il est prouvé que l'on vit d'espoir. Pourquoi, monsieur, n'en pas avoir ? Pourquoi, madame, ne pas y croire ? Tous les jours noirs Ont leur lendemain. Les grandes histoires Ont aussi leur fin. Espoir ! TRENET Espoir Douce France Cher pays de mon enfance Bercée de tendre insouciance Je t'ai gardée dans mon cœur! [...]
[...] Y a des souvenirs au fond de chaqu' tiroir, Des parfums dans les placards. Les trains qui vont la nuit Nous chantent des chansons. Merci, maman, d'avoir gardé la maison. paroles publiées sur les sites internet (ex : www.lyrics- copy.com,www.paroles-musique.com, www.paroles2chansons.com, www.misikiwi.com), mais qui ne correspondent pas à la version chantée paroles chantées par Charles Trenet Annexe : Charles Trenet - Films et romans Films : (BARIOLE - 1932 Réalisation : Benno Vigny et Max Reichman -Scénario : Jean Clerval - Musique : Jane Bos -Paroles des chansons : Charles Trenet - Production : Compagnie du Cinéma. [...]
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