Voyage au bout de la nuit, Louis Ferdinand Céline, découverte de la guerre, histoire de Bardamu, écriture d'un style novateur, armé française
Le texte à commenter est un extrait de roman de Louis Ferdinand Céline intitulé « Voyage au bout de la nuit », publié en 1932 et qui a obtenu le prix Renaudot, prix littéraire créé en 1926 et discerné par des journalistes et des critiques littéraires. Ce roman raconte l'histoire de Bardamu, une sorte de double de l'auteur, qui va être confronté à différentes situations notamment à la lâcheté dont peuvent faire preuve les hommes ainsi qu'à l'absurdité du monde. Le personnage principal, le narrateur, va être engagé dans l'armé française lors de la Première Guerre mondiale en 1914 et qui va se retrouver au front, en plein coeur des combats, se qui va réveiller chez lui toutes sortes de sentiments et de réactions assez fortes. On peut également rappeler qu'il y a énormément de points communs entre l'auteur et son personnage.
[...] Pour finir, l'auteur dénonce dans son roman par un style novateur les atrocité de la guerre et les valeurs qui s'y rattache. On pourrait comparer ce personnage de Bardamu à Candide du conte éponyme de Voltaire, personnage qui lui aussi après avoir découvert les atrocité de la guerre préfèrera prendre la fuite. [...]
[...] Commentaire d'un extrait de Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Celine. Le texte à commenter est un extrait de roman de Louis Ferdinand Céline intitulé Voyage au bout de la nuit publié en 1932 et qui a obtenu le prix Renaudot, prix littéraire créé en 1926 et discerné par des journalistes et des critiques littéraires. Ce roman raconte l'histoire de Bardamu, une sorte de double de l'auteur, qui va être confronté à différentes situations notamment à la lâcheté dont peuvent faire preuve les hommes ainsi qu'à l'absurdité du monde. [...]
[...] Une condamnation expresse du monde de la guerre. Cette condamnation de la guerre par le personnage principal vient sûrement du fait qu'il se soit engagé sur un coup de tête, il n'ait jamais vécu auparavant dans le milieu militaire ni même eu un quelconque rapport avec ce milieu, et deux mois après son engagement, il se retrouve au plein milieu des combats de la Première Guerre mondiale. Il découvre donc le milieu militaire avec surprise, surprise qui lui laisse un goût néanmoins amère, il se sent seul il faut être à peu près seul comme moi La découverte de ce nouveau monde est pour lui brutale et sa condamnation de ce milieu est directe, clairement exprimée, totale et définitive, il exprime son horreur de la guerre avec énormément d'émotions et de toutes les façon possible. [...]
[...] On retrouve ici un thème cher à Celine, celui de la défense du petit peuple contre les puissants et les riches, puisque ce sont les gens fortunés et puissants qui donnent les ordres alors que le reste du peuple est au front sous les balles. Le narrateur ici dénonce la guerre, sa brutalité, son absurdité, l'autocratie des combats, il se retrouve au coeur d'un combat qui pour lui n'est pas le sien. Il va donc en résistance à cela refuser les valeurs de la guerre. II- Une résistance contre les valeurs de la guerre. [...]
[...] Le narrateur va rejeté de façon radicale et définitive les valeurs sur lequel repose la guerre et celles qu'elle entraîne. Le narrateur se sent piéger par la société lorsqu'il se retrouve en plein coeur des combats, car son inexpérience et sa naïveté ont joué contre lui : Comment aurais-je pu me douter Pour lui la seule réaction logique, intelligente et normale au coeur de ces combats est de fuir, de sauver sa vie. Il dénonce les valeurs de la guerre mais tout en appliquant strictement qu'à lui se rejet, il n'y a aucun aspect collectif dans ses paroles cela reste individuelle. [...]
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