Le chêne et le roseau, Jean de la Fontaine, deux êtres vivants humanisés, symbole de puissance et d'autorité, Louis XIV
Le XVIIe est marqué notamment par le mécénat de Louis XIV qui finance et protège plusieurs écrivains notoires, dont Molière, Racine, Boileau, etc. Ce mécénat favorise le développement de la littérature, ou du moins en assure la valorisation, mais il oblige en revanche les écrivains protégés à demeurer prudents. Les auteurs invités à la cour de Louis XIV doivent notamment éviter de critiquer le pouvoir royal... Contrairement à ses contemporains, Jean de La Fontaine a écrit une partie importante de son œuvre en marge de la cour, étant protégé non pas par Louis XIV, mais par Nicolas Fouquet. Bien qu'il ait fréquenté des salons littéraires associés au pouvoir, La Fontaine a ainsi conservé une indépendance d'esprit qui lui a permis de critiquer, avec subtilité et intelligence, l'absolutisme du Roi et des vices de la société et de la cour.
[...] ils le mets en garde contre lui-même et contre sa confiance en soi surdimensionné et essaye de lui ouvrir les yeux sur le fait que : gagner des bataille ne veut pas dire gagner la guerre. il utilise également le pronom nous qui dédramatise le attendons la fin souvent mal compris : l'expression n'a rien de sarcastique .ils attendent tous les deux ensemble la fin, c'est loin d'être une promesse de vengeance c'est plutôt une promesse d'éternité. Le roseau est un personnage sensible et qui a besoin de protection mais qui est intelligent et qui a conscience que ses faiblesses peuvent devenir ses forces . [...]
[...] il nous donne l'image d'un camarade qui gronde son ami de façon amical. Vision du chêne par le chêne : Le chêne fait son propre éloge et est trop confiant car il se compare a une chaine de montagne Caucase et s'attribue même des caractères divin : il se croit invincible car il peut arrêter les rayons du soleil et brave l'effort de la tempête. Comparaison marquante : vers 10 : un parallélisme antithétique entre les deux être les mets sur un pied d'égalité pour le chêne dans le sens où ils sont comparable. [...]
[...] en effet ce n'est pas n'importe quel arbre c'est le chêne : le roi de la foré. il est nommé en premier aussi bien dans le titre que dans la fable, v1 le chêne d'ailleurs on remarque que c'est le sujet de la phrase, alors que le roseau est un simple complément ce qui affirme sa position. De plus il prend la parole en premier, engage le dialogue, prends les reines et montre ainsi son autorité .la personnification avec le verbe dit humanise le chêne et en fait le reflet d'un personnage, on peut dès lors essayer de deviner a qui fait il référence ? [...]
[...] Le roseau se montre humble même si il est capable de faire aussi bien que le chaine. Ce qui s'apparente à une forme de soumission de la part du roseau Le vouvoiement montre le respect du roseau en vers le chêne. il ne le coupe pas pendant sa prise de parole et écoute jusqu'à la fin. b. Une relation de confiance : le mot votre compassion est très important car le roseau démontre à travers lui qu'il comprend le chêne, accepte ses sentiment envers lui et sa sympathie . [...]
[...] la morale du texte surgie dès lors et c'est la souplesse que prône ici la fontaine. lecture passage p306 Et quand on lit le vers suivant on se demande si la fontaine n'as pas raison finalement car le vent du nord gagne la bataille mais il déracine : le chêne est complet, il n'est pas cassé malgré sa mort .il est battue, non pas abattue. c. les deux derniers vers sont un hommage douloureux au chaine qui malgré sa défaite préserve sa grandeur. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture