Charlotte, David Foenkinos, Charlotte Salomon, arrestation du père de Charlotte, arrestation ee Charlotte, nazisme, juif, déportation
Charlotte propose la construction d'un portait et d'un destin. Charlotte est une artiste peintre assassinée par les nazis. L'auteur est véritablement fasciné par cette femme et se lance dans une quête. Ce roman est ancré dans une réalité historique. En effet, il est allé dans tous les lieux où a vécu son héroïne. Ce qui fait l'originalité de ce roman, c'est son écriture versifiée. Le chapitre qui précède celui-ci évoque la nuit de cristal. L'arrestation de son père se fait avant, mais est racontée après. On est face à une analepse.
[...] On peut le voir de la ligne 18 à 21, ils ont une stratégie pour ne pas manquer Charlotte qui tombe "nez à nez" avec eux et qui montre bien l'effet de surprise. La brutalité de la scène L'accumulation de verbes d'actions revèle de la violence physique envers Charlotte, femme enceinte. "précipite" "saisissent" "débat" "tire violemment" créer un effet de continuation, qui se passe vite. On peut même entendre cette violence par une hypotypose qui permet de donner à voir les "hurlements" et les "cris". [...]
[...] PARTIE 1 : Charlotte, L'arrestation du père. Charlotte propose la construction d'un portait et d'un destin. Charlotte est une artiste peintre assassinée par les nazis. L'auteur est véritablement fasciné par cette femme et se lance dans une quête. Ce roman est ancré dans une réalité historique. En effet, il est allé dans tout les lieux où a vécu son héroïne. Ce qui fait l'originalité de ce roman, c'est son écriture versifiée. Le chapitre qui précède celui ci évoque la nuit de cristal. [...]
[...] Cruauté nazie face à l'optimisme persistant. Le cas Brunner Brunner est ici, le seul qui a un nom, et il est martelé en anaphore. Tout d'abord, c'est un menteur, il se contredit lui même avec l'antithèse "il lui arrive de s'énerver" avec en plus en euphémisme et "mais il ne leur veut aucun mal". Son discours est plein de promesses, le mensonge est tellement gros qu'il en devient absurde. Pour faire de ce mensonge quelque chose de crédible, il utilise le présent à valeur de futur proche et utilise sa voix "la plus affable" avec le superlatif. [...]
[...] Cet informateur est totalement anonyme comme on peut le voir avec le pronom impersonnel "on leur explique". Un optimisme nécessaire "Il faut garder espoir" l.89 comme si c'était une necessité, face à tant de cruauté. Ils tentent un raisonnement rationnel avec une argumention par les faits "Après tout Charlotte tente même une stratégie de persuasion en cherchant à "implorer la clémence". Elle se rassure en "chantant en elle", une berceuse allemande, et ainsi ressentir la sécurité de l'enfance. Cela provoque en elle, une lueur d'espoir symbolisé par "le filet d'air". [...]
[...] Il établit un parallèle parce que les 2 héros sont arrêtés sans raisons, et l'"état des choses" répété 3x montre la fatalité qui frappe Albert. Il est quesion de dignité par la métaphore "se tenir droit". En effet, c'est la seule chose qu'ils leur restent. La perte d'identité de tous les protagonistes La comparaison "comme un pantin" met en avant qu'Alfred n'est plus maître de sa destinée, dépendant des soldats. La fatigue anéantit "sa capacité à penser", et donc le peu d'humanité qu'il lui reste puisque "Je pense donc je suis". L'utilisation du pluriel "ceux" créer une masse indistincte. [...]
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