Charles Juliet, "Lambeaux" - publié le 16/04/2008

Résumé du document

Résumé de l'oeuvre de Charles Juliet intitulé Lambeaux, un récit autobiographique qui sera publié quelques années après. Son récit explique comment, d'une enfance paysanne et de diverses études, toutes abandonnées, Charles Juliet décide de se lancer dans son métier d'écrivain.

Extraits

[...] Dans la deuxième partie, Charles Juliet revient sur sa propre existence et sur sa propre histoire, comme pour essayer de recoudre les lambeaux épars déversés par la tragique histoire maternelle qu'il a subi et à laquelle il songera tout au long de sa vie. Il n'y a pas de références précises, de noms de lieux, de personnes. Par exemple, le village où elle vit est : ce village Le style du livre est une lettre. D'emblée, pour lui comme pour sa mère, le narrateur utilise tu L'effet produit est celui de la confidence. La tonalité du texte est très lyrique(expression des sentiments). [...]

[...] C'est pourquoi, il veut la tirer de la tombe La mère natale du narrateur est une paysanne qui a eu une enfance extrêmement dure, avec un père qui ne lui laissait pas le droit à la parole, ni le droit à la liberté. Elle souffre beaucoup de solitude, même lorsqu'elle se retrouve mariée. C'est pourquoi, la mort va la guetter au bout de plusieurs jours passés dans un asile psychiatrique à mourir de faim, sans que personne ne se soucie de son misérable cas. [...]

[...] Dans un second temps, l'auteur relate son parcours : sa famille adoptive, l'enfance paysanne, l'école d'enfants de troupe, puis les premières tentatives d'écriture, qui vont progressivement déboucher sur une toute autre aventure : celle de la quête de de soi même. L'originalité du texte vient du fait que Charles Juliet emploie le pronom personnel tu pour désigner sa mère en première partie, et pour soi-même, enfant, en deuxième partie. Il établit de cette façon une continuité troublante entre mère et fils. II)Structure du texte Le livre se décompose en deux parties. La première est une biographie de la mère naturelle de l'auteur, qu'il n'a jamais connue. [...]