Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle, Jean de La Bruyère, Le portrait de Menalque, portrait alerte, satirique de la société
La Bruyère est un moraliste du 17e siècle qui s'interroge sur la nature humaine. Il s'inspire du philosophe Théophraste selon la coutume des classiques qui reprennent les œuvres de l'antiquité. Dans Les caractères ou meurs de ce siècle de 1688, chaque vice est épinglé dans des portraits, des saynètes ou des aphorismes ou maximes. L'auteur met en scène un personnage représentant un défaut individuel ou un comportement ridicule. Il veut cerner la part universelle d'un caractère, d'un type humain. En cela il poursuit l'œuvre de Molière ou de la Fontaine.
[...] -Ses mésaventures sont liées à des objets. (ce référet au portrait) -Il y a beaucoup de verbes d'action Rapidité du récit -Impression d'un rythme et du dynamisme on a l'utilisation de la parataxe et de période. -Parrallélisme de construction (l17). -Evocation du présent de narration qui contribue à la vivacité du récit. -Certaine mésaventure lui arrive à plusieurs reprises. -Il émet des hypothèses (l.24) II) Un portrait comique. Une raideur mécanique Bergson Le Rire Bergson site Ménalque comme un exemple de personnage comique. [...]
[...] Le quiproqu est souligné par des verbes de perception/La méprise à partir de la ligne 31 consistue une petite saynètes. Avec du comique sans paroles (comique de situation). L'humour est liée à l'expression un homme facheux qui est liée à lui. Situation qui s'installe, qui dure. Ménalque annonce le cinéma Burlesque, comme les réalisateurs ( Chaplin, Buster, Keaton, Pierre Richard , Tati) III) Un peinture satirique de la société Comédie de l'apparance. A la cour, dans les salons, Ménalque ne réussi pas à jouer la comédie sociale. [...]
[...] (gag de l'aveugle/et celui de la charrette). (Sa tenue au début ou encore la péruque qu'il porte). Il a un rythme agité. Ménalque est un éternelle endormir. Un somnonbule en bonnet de nuit à peine détrompé (l.39) Différents comiques. Ménalque est grotesque, ridicule à cause du comique de geste et de répétition , c'est caricaturale. Ce comique de geste, on l'a avec l'aveugle : manque de coordination : s'embarasser dans ses jambes. Pour résumer, l'aveugle c'est lui. Autres scènes burlesque : -La péruque qui s'accroche (l.21). [...]
[...] Dans Les caractères ou meurs de ce siècle de 1688, chaque vice est épinglé dans des portraits, des saynètes ou des aphorismes ou maximes. L'auteur met en scène un personnage représentant un défaut individuel ou un comportement ridicule. Il veut cerner la part universelle d'un caractère, d'un type humain. En cela il poursuit l'œuvre de Molière ou de la Fontaine. Le portrait de Menalque est un des plus longs, la distraction passe pour un vice plus innocent que l'hypocrisie, mais celle-ci permet des effets comiques. [...]
[...] Nous pouvons aussi remarquer l'omniprésence du pronom Il Conclusion : Ménalque est le type du distrait, de l'étourdie, qui déclanche le rire à cause de ses méprisés. Sa raideur mécanique permet d'évoquer les mœurs des nobles de son temps, car il se présente toujours en décalage avec les codes de la Cour. Ouverture : Ex1 : La Bruyère se serait inspiré de quelques contemporains qui faisait bien rire la cour. Il y avait le duc de blancas qui c'était présenté à un procès qu'y n'était pas le sien. Ex2 : Le cinéma burlesque à souvent mis des étourdies en scène. [...]
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