Etude du chapitre 1 de Candide, de Voltaire, des personnages, de la structure, de la critique, du conte philosophique... En plus, un tableau comparatif permet la comparaison du chapitre 1, du chapitre 17-18 et du chapitre 30 de Candide au niveau social, politique, philosophique, des lieux et des personnages, ainsi qu'une conclusion sur les grandes dénonciations du conte (...)
[...] La monarchie laisse accomplir des choses horribles. Critique de l'arbitraire, du fanatisme, de la justice royale (auto-da-fé). Critique de l'urbanisme de l'architecture. Absence de curiosité, de la peur, du pouvoir royale face au savoir (encyclopédiste). Diffusion du savoir et de la culture qui permet à chacun de s'épanouir. Pour le personnage de Candide lui-même : L'El-dorado est un chapitre au milieux c'est une étape qui va donner des idées nouvelles à Candide. Il commence sa deuxième étape de formation. Il va partir à la rencontre de lui-même. [...]
[...] Candide est rejeté pour des causes futiles, le caractère ne compte pas. On voit la vanité de la noblesse. Pour souligner cet orgueil, Voltaire fait volontairement une disproportion entre les phrases brèves portant sur les qualité du gentilhomme et les phrases longues sur l'explication des raisons stupides du rejet. C'est l'apparence qui compte. Cela met en valeur la vanité, la fatuité de la mère et leur manque total de discernement. Les philosophes des Lumières critique 'ordre sociale intolérable qui repose sur la naissance et les privilèges, eux qui sont de la bourgeoisie. [...]
[...] La Vestphalie est une région allemande souvent en guerre. Le château renvoie au conte. Un jeune héros, une jolie jeune fille, un baron et une baronne sont des éléments d'un conte. Le château fait référence aux merveilleux qui va faire accepter toutes les péripéties. Leibnitz est visé à travers les noms des lieux car il est originaire d'Allemagne. C'est une forme de récit initiatique. Voltaire choisi la forme du conte pour amuser et séduire. La structure est très rigoureuse ce qui correspond à l'esprit des Lumières. [...]
[...] C'est un personnage vaniteux et il caricature la philosophie avec des mots pompeux, compliqués. Le narrateur utilise l'ironie. L'optimisme va se retrouver dans le nombre des superlatifs. (parodie de la genèse) Pangloss va avoir la parole pour dire sa théorie. Il est démontré que cela a déjà été démontré. Le discours ne peut pas laissé d'hypothèse à discuter. Il n'a rien prouvé pourtant. On a un effet de catalogue avec une série d'exemples burlesques, mélanges d'éléments incongrus. C'est un texte des Lumières d'où sa structure rigoureuse, sa facile compréhension et le souci d'esthétique. [...]
[...] Candide est mentionné deux fois un jeune garçon apparition de superlatif. Il est décrit vaguement et par ses traits de caractères. C'est un être vide près à tout examiné, naïf. Candide vient du latin aucune origine germanique. Il a de la franchise on voit son âme dans sa physionomie il va pouvoir évoluer. C'est un bâtard mais il a une très bonne filiation son hérédité est excellente, son père était un bon et gentilhomme. C'est à cause de l'orgueil de sa mère qu'il le sera. [...]
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