Commentaire de texte du chapitre 3 de Candide qui se centre sur "l'absurdité de la guerre" en opposant le regard pur de Candide à la voix ironique de Voltaire.
[...] Mais cette fois, il est vrai qu'il point d'effet (la guerre) sans cause (raisons économiques, territoriales, politiques et religieuses). Vus ces liens avec la politique, l'économie et la religion, la guerre fait donc partie de cette structure sociale attaquée par Voltaire et les philosophes des Lumières, il n'y a donc aucune raison, selon Voltaire pour que les hommes puissent arriver à s'entretuer. Il y a ensuite, par la voie de nombres approximatifs, et d'allusion aux théories Leibniziennes, le bilan de ce conflit semble être divisé de façon égalitaire pour les deux camps : ce qui donne un autre indice de l'inutilité de cette guerre où il n'y a ni de vainqueur ni de vaincu, que des morts. [...]
[...] Candide ou l'optimisme : Chapitre III Une boucherie héroïque L'Absurdité de la guerre Dans ce troisième chapitre de Candide, le personnage principal est confronté, suite à avoir été chassé par le baron de Thunder-ten-Tronck, au plus grand des maux présents sur terre : La Guerre. Pour présenter la guerre, qui paraît dans ce chapitre comme étant un véritable spectacle, Voltaire joue avec le personnage de Candide, pour créer un effet de contraste entre son regard satirique et le regard pur et innocent de ce personnage. [...]
[...] Ces mêmes règles appliquées à un jeu ne devraient pas être utilisée avec des hommes : mais pourtant c'est comme ça, les rois, en restant à l'abri dirigent leur hommes vers la mort avec le but de causer la mort, cela et absurde et Voltaire tente de l'expliquer au moyen de son ironie parfois un peu lourde mais aux même temps étant le reflet de la réalité. [...]
[...] Le chant des Te Deum (chant pour remercier Dieu de la victoire) dans les deux camps, nous fait voir en quelque sorte que la religion est corrompue car elle devient le sponsor de ce massacre, ce qui s'oppose totalement à ses enseignements. L'auteur veut aussi indiquer que dans les deux camps on ne compte que les dommages infligés aux autres et non pas ceux reçus ; ce qui est très semblable au jeu des échecs ou une personne à comme but de battre l'adversaire en n'hésitant pas à perdre des pièces pour le faire (il y a même des moyens de gagner qui se basent sur le sacrifice de pièces). [...]
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