La Bruyère, "Les Caractères"

Résumé du document

Aide à la lecture cursive de Les Caractères de La Bruyère. Résumés de plusieurs passages de l'oeuvre de La Bruyère, Les Caractères. Ces résumés, s'approchent souvent de l'analyse critique, et nous permettent ensuite, d'établir une définition d'un caractère selon La Bruyère. Pour introduire le sujet, le document est précédé d'un biographie de La Bruyère et du contenu de l'oeuvre (chapitres et contenus des chapitres).

Extraits

[...] La biographie de La Bruyère Jean de La Bruyère, moraliste Français, est naît à Paris en 1645. Son père était contrôleur général des rentes de la Ville de Paris. A vingt ans, il passe sa licence de droit à l'université d'Orléans. Il achète en 1673, une charte de trésorier général de France au bureau des finances et de la généralité de Caen. Il reviendra à Paris en 1686. Il est appelé en 1684 pour enseigner l'histoire à Louis de Bourdon. [...]

[...] (121) Gnathon est décrit comme un odieux personnage, narcissique, égoïste et très mal poli : non content de remplir à une table la première place, il occupe lui celle de deux autres Il se rend maître du plat malpropretés dégoûtantes (l.13), ne pleure point la mort des autres, n'appréhende que la sienne (l.33). Il ne vit que pour soi (l.1). (122) Cliton est un personnage qui ne pense qu'à manger, du matin au soir : que deux affaires, qui est de dîner le matin et de souper le soir (l.1- né que pour la digestion (l.4). Ses seul sujets sont les repas, les mets, les vins, c'est-à-dire, tout ce qui peut rentrer dans une bouche et qui soit comestible. Il a vécu avec la nourriture jusqu'à sa mort. [...]

[...] Cet homme possède une grande maison, La Bruyère la compare à un temple : est-ce la maisons d'une particulier, est-ce un temple ? Le peuple s'y trompe (l.11). Périandre est jalousé et envié de tout le monde : c'est lui que l'on envie (l.13). Mais apparemment, toute cette fortune vient de l'héritage de son père défunt, mais c'est un héritage voilé, qui ne lui revenait pas : Que son père si vieux et si caduc ( ) se fît dans le monde aucune mention de Périandre ! [...]

[...] En effet, ce paragraphe concerne les personnes de la campagne. Il les compare à des animaux, attachés à la terre qu'ils fouillent (l.3) : Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racine (l.7-8). * Des jugements 28 Il parle d'Elvire. Apparemment, elle a beaucoup de qualités : une parfaite amie trop jeune, trop fleurie pour ne pas plaire elle surprend et elle intéresse (l.11), au-dessus de la vanité (l.26). * De la Mode Ce paragraphe parle de la curiosité, ce n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau, mais pour ce qui est rare, unique (l.1-2). [...]

[...] Et qui avance connaître beaucoup de chose sur l'antiquité, comme la guerre des géants ou l'horrible chaos des deux empires de Babylonie et l'Assyrien (l.10). Que ne sait-il point ? Quelle chose lui est cachée de la vénérable antiquité ? (l.27). L'auteur relate une discussion entre Nicande et Elise. Où Nicande parle de plusieurs choses. Tour d'abord de la manière douce et complaisante dont il a vécu avec sa femme (l.2). Puis des maisons qu'il a à la ville du fait que sa femme n'aimait point assez le jeu et la société (l.11) pour tant investir. [...]