<em>Wuthering Heights</em> est l'unique roman écrit par Emily Brontë. Il est publié en 1847 sous le pseudonyme masculin d'Ellis Bell. <em>Wuthering Heights</em> se distingue très fortement des romans classiques victoriens de l'époque. Emily Brontë se détache des récits réalistes et conservateurs pour explorer la violence des sentiments humains. Son roman est jugé déplaisant et démoniaque, et la majeure partie de la critique le réprouve avec vigueur. Sa soeur, l'écrivain Charlotte Brontë, va défendre l'oeuvre de sa soeur dans une préface au roman en minimisant ce qui choquait les lecteurs contemporains. Le roman décrit la passion dévorante de Catherine Earnshaw pour Heathcliff. La jeune femme aime Heathcliff mais hésite à l'épouser car un autre homme, Edgar, représente un meilleur parti pour un mariage. Heathcliff s'en va et Catherine épouse Edgar. La passion semble éteinte mais reprend de plus belle avec le retour de l'homme aimé. Ce retour crée un bouleversement tel chez Catherine qu'elle sombre dans la folie. En quoi le délire de Catherine tente-t-il d'abolir toutes les frontières, spatiales et temporelles, avec Heathcliff ? (...)
[...] Elle voit des choses qui sont invisibles pour Nelly, elle communique avec un autre monde et révèle la dimension tragique dans sa relation avec Heathcliff. L'œuvre est à son paroxysme des passions avec Catherine au bord de la démence. Cette scène la précipitera vers la mort, ce qui constitue la seule solution pour apaiser les tourments de la jeune femme. La mort de l'héroïne à la moitié de l'œuvre surprend, en effet elle laisse Heathcliff seul et désemparé. Cela ouvre la deuxième partie du roman : la vengeance d'Heathcliff. [...]
[...] Wuthering Heights d'Emily Brontë. Commentaire composé du chapitre XII, de She could not bear the notion à at that late hour Texte étudié : She could not bear the notion which I had put into her head of Mr. Linton's philosophical resignation. Tossing about, she increased her feverish bewilderment to madness, and tore the pillow with her teeth; then raising herself up all burning, desired that I would open the window. We were in the middle of winter, the wind blew strong from the north-east, and I objected. [...]
[...] Wuthering Heights se distingue très fortement des romans classiques victoriens de l'époque. Emily Brontë se détache des récits réalistes et conservateurs pour explorer la violence des sentiments humains. Son roman est jugé déplaisant et démoniaque, et la majeure partie de la critique le réprouve avec vigueur. Sa sœur, l'écrivain Charlotte Brontë, va défendre l'œuvre de sa sœur dans une préface au roman en minimisant ce qui choquait les lecteurs contemporains. Le roman décrit la passion dévorante de Catherine Earnshaw pour Heathcliff. [...]
[...] There was no moon, and everything beneath lay in misty darkness; not a light gleamed from any house, far or near all had been extinguished long ago: and those at Wuthering Heights were never visible—still she asserted she caught their shining. she cried eagerly, “that's my room with the candle in it, and the trees swaying before it; and the other candle is in Joseph's garret. Joseph sits up late, doesn't he? He's waiting till I come home that he may lock the gate. Well, he'll wait a while yet. [...]
[...] He had only then come from the library; and, in passing through the lobby, had noticed our talking and been attracted by curiosity, or fear, to examine what it signified, at that late hour. Plan : Introduction I / Une démence clinique. Les changements d'humeur et physique. Le corps déchiré. Un enfermement. II / Une folie surnaturelle. Des rêves et des cauchemars. Le passage de la vie à la mort. Une descente aux Enfers. III / Le pouvoir du délire. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture