- La présence d'un narrateur avec une focalisation omnisciente (on connaît les pensées et les actes du personnage principal : un peintre) : "on le sentait bien" l8, "il hésita" l13.
- On a d'autres personnages : ses amis + "nous" -> texte poétique qui apparaît comme un récit. Un poème en prose : traditionnellement, la poésie est en vers. Ici, l'auteur a fait le choix de faire un récit poétique : caractéristiques du récit : l'imparfait pour la description, du passé simple pour la narration : "il répondit un soir" l15 (...)
[...] Le vautour Il répondit un soir : je cherche à peindre sans que le vautour prenne place + l23-31 : le récit de l'apparition du vautour : description d'un être terrible : les ailes, le bec étrange d'un immense vautour le vautour : celui qui vient manger les charognes connotation extrêmement négative a. L'apparition du vautour alors qu'il pensait avoir peint une vierge magnifique (portrait de la vierge : beau visage, sourire étincelant il y a une opposition entre ce qu'il avaient pensé peindre et ce qu'il a réellement peint. b. [...]
[...] LA : La rue traversière Yves Bonnefoy I. Une poésie moderne a. L'originalité de la forme La présence d'un narrateur avec une focalisation omnisciente (on connaît les pensées et les actes du personnage principal : un peintre) : on le sentait bien l8, il hésita l13 On a d'autres personnages : ses amis + nous texte poétique qui apparaît comme un récit. Un poème en prose : traditionnellement, la poésie est en vers. Ici, l'auteur à fait le choix de faire un récit poétique : caractéristiques du récit : l'imparfait pour la description, du passé simple pour la narration : il répondit un soir l15. [...]
[...] Cependant, on a une véritable écriture poétique Il y a des procédés poétique : son attente, sa rêverie, sa rigueur l11, énumération ; antithèse l32 : cri opposé à silence ; enjambement : je poussé un cri, de douleur Utilisation de l'anaphore : peut-être qu'il était [ ] peut-être parce qu'il [ ] l13-14 ; combien de fois l17 Travail sur l'image : l'écriture de Bonnefoy est tellement évocatrice que l'on voit le tableau devant ses yeux : l27-28 ; jeu avec la lumière : CL lumière : peu éclairé belle lumière silencieuse le soleil clair véritable travail poétique sur la lumière II. Le travail sans fin du peintre a. Le personnage principal est un peintre CL peinture : couleur peint fresque couleur tableau image tableau, image bleu rouge b. Le travail sans fin de l'artiste Multiplication de termes évoquant la notion de choix : ou l3, pourquoi puis mais qui montre qu'il a changé d'avis, et pourquoi l7. [...]
[...] Ce n'est plus une recherche de perfection, mais une recherche de vie. Confirmé par le fait que je crois que je l'ai bien chassé depuis peu et que je vais donc bientôt terminer le tableau, c'est à dire mourir le peintre à réussi sa victoire sur la mort, mais il va en mourir son œuvre va rester immortelle, mais lui va en mourir. Pour le peintre, c'était un combat qu'il a mené par la peinture et non pas par la parole : antithèse : l32-33 : je ne cessai de pousser ce cri, ce fut ce que vous disiez, mon silence c'est la peinture qui a servie de moyen d'expression à l'artiste face au vautour et non pas la simple parole L'art permet de combattre la mort. [...]
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